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    ❝ La fin d'une torture ❞
    - Erke & Slav' -
    On croit toujours que certaines relations sont si fortes qu'elles pourront résister à tout, et tou vaincre.
     Depuis combien de temps étais-je ici à déssecher, sans vie, sans sang, avec ma conscience comme seule compagnie. Je ne savais plus. J'avais tenté les premiers temps de compter les jours qui passait, les heures, les minutes, les secondes, en vain. L'envie de sang et surtout l'envie de venger mon amour perdu était plus forte que tout. C'étais d'ailleurs la seule chose qui m'empêchait d'éteindre mon humanité. Le seul espoir qui me restait. L'espoir qu'un jour, par quelconque moyen je me libères de mes chaînes pour tuer chaques personnes qui m'avait enlevé l'être que j'aimais le plus au monde. Si Erke me voyait dans cet état là, je ne doutes pas qu'il trouverait un quelconque argument pour me dire que j'étais la plus belle à ces yeux avant d'en vouloir à la Terre entière. Je repensais à son visage, son regard, ses épaules dur sur lesquels je reposais mes joues. Et malgré la douleur qui emplissait mon coeur, mon corps n'avait pas la capacité de verser de larmes. C'est pieds et poings liés, que j'attendais encore que les temps passent, me remémorant les bons moments que nous passions ensembles, les pays que nous visitions, le bonheur que tu m'offrais. Je t'aime mon amour, si seulement je l'avais plus dit, plus montré. On pense toujours avoir du temps, mais nous n'en avions si peu eu ensemble. Je voulais l'éternité avec toi et aujourd'hui je ne devais passé une éternité de torture dans un monde ou tu n'étais plus.
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    La fin d'une torture
    Slavinka and Erke

    Elle était là sous mes yeux. Nos regards ne se quittaient plus; elle m'a demandé de la tuer, elle ne voulait pas finir entre leur mains; ils avaient encerclé la maison, ils allaient rentré. Je n'ai pas pu m'y résoudre, j'ai été lâche, je l'aimais trop pour ça. Je me suis retrouvée à terre en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Il me plante son couteau et bientôt mes yeux se voilent, je ne vois qu'un pieu plantait dans son corps avant de sombrer. Je me réveille en sursaut, je me retrouve dans la même pièce à Brest, mais je suis seule. Ma bien-aimée n'est pas là non plus, à vrai dire il n'y a pas grand monde, quelques habitants par-ci par là, mais aucun que je n'ai vu depuis notre arrivée quelques semaines plus tôt. Je n'y comprends plus rien.

    J'ai mit quelques jours à comprendre que j'étais mort, enfaites c'est quelqu'un qui m'en a fait part au détour d'une conversation; ce n'était pas vraiment un sujet de prédilection dans le coin. Le jour de ma mort reste encore aujourd'hui flou pour moi, je revois le visage effrayée de ma chère et tendre et du pieu, mais c'est tout. J'ai passé un temps fou à la chercher, pour moi elle était ici, j'avais vu le pieu j'en étais sur, mais pourtant après plus de quatre cent ans, je m'étais dis qu'elle avait réussit à leur échappé et j'en étais heureux pour elle bien sur. Il y a quelques semaines j'ai eu une nouvelle piste de la part d'un chasseur descendant de la confrérie pour laquelle j'ai chassé pendant tant d'années, celle-là même qui m'a tué, il avait entendu des histoires sur moi, sur nous. Alors j'ai suivi ses infos, infos qu'il m'a donné après une petite séance de torture, je n'aimais pas faire ça à l'un des miens, mais je ne pouvais pas l'a laissé m'échappé encore une fois, surtout si se qu'il disait était vrai : apparemment ils l'auraient torturé pendant des semaines, voir des mois avant de finalement la tuer. Ils seraient rentrés sur Berlin pour leur sévices, c'est donc à Berlin que je décidais de me rendre.

    Il me fallut un moment pour trouver se que je cherchais, même les indications du chasseur étaient plutôt maigre pour avancer rapidement; il y avait si longtemps... Je rentrais dans une grande bâtisse, il me fallut plusieurs minutes pour visiter une bonne partie de cette dernière avant de trouver une porte menant sur une cave ou un cachot. Il n'y avait bien sur pas d’électricité, il y avait une torche en haut des marches et j'avais toujours une boite d'allumette dans ma poche pour brûler quelques vampires, j'en craquait afin d'allumer la fameuse torche autour de laquelle se trouvait encore un vieux tissu. Je descendais les marches prudemment vu l'état plus que précaire des lieux, mais aussi rapidement que possible, j'avais tellement hâte d'avoir de nouvelles pistes ( je ne pensais pas la retrouver enfermer ici). Une fois arrivée en bas, je me retrouve face à deux portes, la première s'ouvre plutôt aisément, mais évidemment rien d’intéressant derrière, des inscriptions sur les murs, mais rien qui puisse me rapprocher de Slavinka. Je soupire, avant de sortir de la pièce et me diriger vers la seconde porte. J'ai plus de mal à l'ouvrir, je dois donner un bon coup de pied dedans pour que les gonds cèdent. Je fais le tour de la pièce, mes yeux allant d'un endroit à l'autre et là au fond j'aperçois un corps attaché. Il n'est pas décomposé, un vampire a été oublié là,  comment ? J'ignore encore de qui il s'agit pour l'instant. Je m'approche doucement, et elle relève la tête. Oui c'est une femme, c'est pour l'instant la seule chose dont je sois sûre. Ses longs cheveux noirs devant son visage, m'empêche d'en savoir plus pour l'instant. J'aperçois de la verveine un peu partout dans la pièce, mais pourquoi l'enlever, je ne vais pas permettre a un ennemi de reprendre du poil de la bête.
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    ❝ La fin d'une torture ❞
    - Erke & Slav' -
    On croit toujours que certaines relations sont si fortes qu'elles pourront résister à tout, et tou vaincre.
    Je repensais à mes tortionnaires souvent, désireuse au plus profond de mon être de les tuer un par un. Je repensais aussi aux nombreuses tortures qu'ils m'avait subir, la privation de sang, les brûlures, les membres cassés et j'en passais des vertes et des pas mures. Il voulait comprendre qu'elle avait été mon intérêt dans ma relation avec Erke. Pour eux, l'amour ne pouvait être une justification. Selon eux, un être tel que moi, un démon devrais-je plutôt dire, ne pouvait ressentir de sentiment.
    J'avais beaucoup de fois voulu laisser tomber, enlever mon humanité, pour ne plus avoir à supporter la douleur de mon corps séché à blanc. Mais chaqu'une de ces fois, je repensais à Erke, à son visage, son regard qui se posait sur moi, ses éclats de rire rare, mais tellement beau. Je pensais à nos moments ensembles, nous avions passé notre vie ensemble à fuir et pourtant chaque moment passé avec lui était à jamais gravé en moi.

    Je me demandais souvent également ce qu'il se passait. J'étais censé être morte, j'avais senti le pieu s'enfoncer dans mon cœur. Et pourtant j'étais toujours là, seule. Étais-ce mon enfer personnel ? Je ne pouvais en douter, j'avais tué énormément avant ma rencontre avec Erke, alors si il existait un paradis et un enfer, j'étais d'office vouée à ce dernier.

    Je me remémorais le visage de mon amour et c'est perdu dans mes pensées que j'entendis du bruit au loin. Je voulais crier, dire ou je me trouvais, mais mon corps desséché m'en empêcher. Des bruits de pas, j'étais certaines d'entendre des bruits de pas qui se rapprochaient petit à petit du lieu ou je me trouvais. Mon esprit hurlait de toutes ses forces sans aucun sons ne sortent de ma bouche. Le bruit se rapprochait jusqu'à se trouver devant la porte. Dans un fracas, la porte s'ouvrit. Je n'eus pas tout de suite la force de lever la tête, mais l'odeur tentatrice du sang que je sentais me fit découvrir mon interlocuteur. Je connais cette odeur, je la connaissais par cœur même. Erke, étais-ce possible ? Je devais encore être dans mes rêves, ou alors la folie s'était enfin emparée de moi. Je levais autant que possible mon visage et je le vis face à moi ?
    Il était la toujours aussi beau, je voulais lui dire de me libérer, lui dire que je l'aimais de tout mon corps, mais rien ne sortait de mes lèvres.
    Je tentais une nouvelle fois de toutes mes forces de l'appeler sans savoir si il m'entendait ou pas.

    - Mon amour, aides moi !

    J'étais certainement folle et il ne devait et ne pouvait être face à moi. Mon esprit me jouait des tours et me brisait encore plus le cœur.
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    La fin d'une torture
    Slavinka and Erke

    Il s'était passé tellement de chose en plus de quatre cents ans. J'avais perdu tout espoir de retrouvé un jour mon amour disparu. J'était même accompagné depuis quelques années par une jeune vampire du nom de Gwen. Elle avait attendrit mon cœur de pierre et si elle n'était pas présente aujourd'hui, c'est que je n'avais pas voulu la mêler à cette action, mais je savais qu'elle n'était pas bien loin, toujours prête à venir m'embêter ( mais au fond je l'appréciais énormément et elle était un peu comme ma fille, sauf lorsqu'elle décidait de tuer des humains, mais bon, elle refusait de faire du mal aux animaux que voulez vous... Un regard d'elle et je tombais sous le charme^^) Bref, tout ça pour dire qu'aujourd'hui j'étais seul dans cette maison et c'était pas plus mal, car je détestais la savoir en danger et dans un repaire de chasseur, il y a toute les chances qu'il y est des chasseurs, même mort depuis longtemps. Après tout ici, rien n'était impossible.

    Une fois devant la vampire desséchée, j'entends une sorte de grognement, puis un autre. Je comprends que cela vient d'elle. Elle devait m'avoir sentit : "Même pas en rêve tu pourras goûter mon sang ma belle". Je fouille un instant la pièce pour essayer d'avoir la moindre infos, mais visiblement la seule personne capable ici de m'en fournir et ici devant moi et en manque de sang. Je m'approche doucement alors qu'elle tente encore de parler , mais cette fois ce n'est pas un grognement, ce sont des mots. Je comprends qu'elle parle d'amour et d'aide, mais c'est tout. Je m'accroupis face à elle. Je prend ses cheveux qui sont devant ses yeux pour les placer à l’arrière de sa tête. Je dois la voir si je veux lui poser des questions, savoir si elle ment ou non. Je relève sa tête d'un doigt sous son menton. Et je manque de m'étouffer en reconnaissant ce visage, malgré son teint grisâtre, ses traits affaissés, ridés par le temps, à moitié mort, avec plus une seule goutte de sang dans les veines. C'est elle, elle est là devant moi, enchaînée comme une bête qu'on emmène à l'abattoir. Pourquoi? Alors c'était bien vrai; il ne l'avait pas tué tout de suite, en France, il l'avait emmené ici, ou c'est une fois morte qu'elle s'est faite capturé et emprisonné ici, je n'en sais rien et franchement c'est le cadet de mes soucis pour l'instant.
    Je lui tends mon bras sans hésiter, afin qu'elle puisse le mordre et se nourrir. Une brûlure me parcourt dans l'avant bras, le bras puis partout dans le corps. J'en profiterais bien pour sentir son parfum, mais ce n'est pas une odeur des plus agréables qui se dégagent d'elle pour l'instant, alors je m'abstins; mais je l'imagine sans difficulté par contre. Je revois son sourire, ses cheveux volant au vent et faisant parvenir ces délicates odeurs jusqu'à moi, sans compter sa peau qui d'ailleurs retrouve un peu de sa composition au contact de sang humain qui infiltre aujourd'hui son corps après toutes ces années. Je ferme les yeux sous le coup de la brûlure; elle boit de tout son soûle et je ne pensais pas trouver un vampire ici, alors les poches n'était pas prévu au programme.

    - Mon amour, tu dois arrêter, maintenant...

    Il y a si longtemps que je n'ai plus prononcer ces deux mots : "mon amour" de vive voie, que tout cela me semble irréel. Mes yeux me piquent. Je dois enlever mon bras maintenant si je souhaite rester en vie. D'ailleurs je suis déjà mort, que ce passerait-il si elle me tuer en me vidant de mon sang, on ne peut pas mourir deux fois, si ? Sa force est de nouveau aussi forte que la mienne. Je ne pourrais bientôt plus l'arrêter, elle me surpassera. Je dois faire vite, où elle si sa volonté est assez forte.

    - On te trouvera de quoi boire en sortant d'ici je te le promet!
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    ❝ La fin d'une torture ❞
    - Erke & Slav' -
    On croit toujours que certaines relations sont si fortes qu'elles pourront résister à tout, et tou vaincre.
    Je voyais enfin le bout du tunnel, j'espérais que dans quelques instants, Erke me reconnaître et me libérerait, mais il y avait également une autre option moins réjouissante, qu'il ne prenne pas la peine de regarder qui est ce vampire accroché au mur et qu'il me laisse la. J'aurai dans ce cas, au moins eu le bonheur de le revoir, si ce n'était pas une hallucination. Il commençait à s'approcher de moi, je pouvais sentir l'odeur de son sang, voir la palpitation de ces veines et malgré tout l'amour que je pouvais lui porter, je ne pouvais penser à autres choses que m'abreuver, à cette instant, j'avais envie de lui hurler de partir pour que je ne puisse pas lui faire du mal, mais j'étais trop faible. De son doigts, il me releva le menton et découvrit mon visage ainsi que mon identité. Je pus voir la stupeur dans ces yeux, mélangeait à de la rage et du bonheur.
    Rapidement et sans réfléchir, il me tendit son bras pour que je puisse me nourrir. Je ne voulais pas, je n'avais pas envie de lui faire de mal, mais ma nature me forçait à faire le contraire.

    Je le mordis. Si j'aurais pu pleurer je l'aurais, je savais que à l'instant ou son sang allait se déverser dans ma gorge, le plaisir que j'allais ressentir, me rongerait tout le reste de mes jours. Le fluide divin qui m'envahissait de nouveau me faisait perdre la tête autant qu'il remettait mon corps d'aplomb. Je retrouvais mes forces, je n'étais plus desséché et je reprenais petit à petit visage humain. Chaque gorgées me donnaient envie de la suivante. Ces paroles me ramenèrent sur Terre. Il avait raison, je devais arrêter, il le fallait absolument, sans quoi j'allais mettre sa vie en danger.
    Malgré toute ma volonté, je n'y arrivais pas, comme si mon corps ne se laissait plus dicter par mon esprit.
    Il avait raison, dehors il devait surement y avoir de quoi boire. C'est dans un effort monstrueux que mes dents relâchèrent son bras.

    - Tu ne peux pas me libérer, j'ai trop peur de te faire du mal.

    Même si j'avais réussi à m'arrêter, je ne savais pas comment j'allais agir une fois qu'il m'aurait libérer de mes chaînes. Allais-je arriver à attendre de trouver quelques choses à boire ? Je ne savais pas et surtout il était hors de question de prendre le risque du lui faire du mal. Je préférais encore mieux rester ici, enfermé. Mes forces revenues, j'admirais ces traits que je n'avais pas vu depuis si longtemps. Il était aussi beau que dans mes souvenirs, même plus encore. Son visage était tout de même atteint par la douleur de ce que je venais de lui faire subir. La culpabilité qui venait me ronger était aussi forte que l'amour que je lui portais, je ne pouvais que baisser le regard de honte. Finalement, je méritais peut-être le sort que j'avais, j'étais un monstre. Comment avais-je pu blesser et me nourrir de l'homme que j'aimais.

    - Pars, laisses moi ici, je suis totalement à ma place. Tu ne mérites pas d'être avec un monstre comme moi. Pars sans te retourner, et s'il te plait soit heureux.

    Devrais-je éteindre mon humanité pour arrêter de ressentir cette haine de moi-même ? Beaucoup à ma place choisirez cette solution, mais ce n'était que facilité. Je méritais de souffrir après ce que j'avais fait. Je ne rêvais plus de libération à présent, mais uniquement d'effacer mes actions de ces dernières minutes.
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    La fin d'une torture
    Slavinka and Erke

    J'étais accroupit devant l'amour de ma vie perdu de vue depuis si longtemps... pourtantg je n'avais jamais pu oublier son visage, son regard, son parfum, ses cheveux. Plus elle buvait, plus elle reprenait forme humaine, enfin si l'on peut dire. Elle retrouvait des forces à vu d’œil et bientôt sa force dépasserait de nouveau la mienne. Je réussis à la convaincre d'arrêter, enfin c'est se que je crois, lorsque ses crocs sortent de mon bras. Elle lève la tête vers moi. je lui souris de toutes mes dents. Elle est si belle, je la retrouve enfin. Elle a bu beaucoup de mon sang et j'ai légèrement pâlit, c'est à mon tour d'être fatiguée, mais je ne lui en veux pas, jamais je ne lui en voudrais, d'autant plus que c'est moi qui lui ai demandé de le faire pour pouvoir se nourrir et sortir de là. Je n'écoute même pas se qu'elle me dit, je me relève et commence à arracher toutes les fleurs aux alentours : la verveine, l'une des rares faiblesses des vampyres. Une fois le tour de la pièce fait, je ressors avec tout cela sous le bras et vais le mettre dans l'autre geôle à côté, je fais deux tours avant de me retrouver de nouveau devant ma promise. Je ne peux pas lui enlever ses entraves, c'est à elle de le faire, mais vu ses dernières paroles je doute qu'elle le fasse.

    - J'ai confiance en toi, mon amour. Fais le je t'en prie, libère toi de tes chaines, je n'y arriverais pas, malgré les années j'ai peur qu'elles soient restées trop solide pour moi. Fais le, Slavinka, et ensuite je t'emmènerais boire! Et nous pourrons enfin nous retrouver. ne me laisses pas comme ça... moi en tout cas je ne te laisserais pas toute seule. Si tu ne veux pas te libérer, je resterais là, près de toi, j'attendrais.

    Je me mets tout de suite en action, enfin plutôt en inaction. Je m’assois non loin d'elle, juste en face. J'attends qu'elle se décide. Je ne l'abandonnerais pas une fois de plus, j'ai échoué une fois déjà. Je l'aurais tué moi-même, ils ne l'auraient pas amené ici, ne l'auraient pas torturé, nous ne nous serions pas cherché pendant si longtemps.
    Je savais très bien, qu'il l'avait torturé, elle n'avait pas besoin de me le dire, je connaissais mon clan mieux que quiconque, je connaissais leur méthode par cœur. Je la regardais de haut en bas. Tout son être m'appelait, ses yeux, sa peau, et je passe les détails sur le reste.
    Je n'avais qu'une envie : l'embrasser, mais je m'en empêcher pour l'instant, je voulais avant tout qu'elle sorte de là et qu'elle finisse de se rétablir.
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    ❝ La fin d'une torture ❞
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    On croit toujours que certaines relations sont si fortes qu'elles pourront résister à tout, et tou vaincre.
    Je ne comprenais pas. Malgré ce que je venais de faire, il me regardait toujours avec amour et avec ce sourire qui me faisait fondre. Sans avoir la moindre attention pour mes paroles et malgré la fatigue qui l'emparait maintenant, il s'affairait à débarrasser la pièce de la verveine qui m'entourait, sans quoi, je ne pouvais être libérer. Cette fleur, et uniquement celle là, était un vrai poison pour un vampyre comme moi. Lorsqu'il ressortir avec la plante, je sentis mon corps se détendre et se soulageait, mais aussi mon esprit redevenir un peu plus cohérent que précédemment. J'écoutais ses paroles, les buvant et essayant d'assimiler ce qu'il voulait me dire. Il avait confiance en moi, devrais-je plus me faire confiance à moi-même, étais-je aveugler par cette peur de le faire souffrir qui me paralysait ?
    Si il savait à quel point j'avais envie de le retrouver, envie de le serrer contre moi, de sentir sa chaleur.
    Alors que je réfléchissais à l'éventualité de briser mes liens, je le vis s’asseoir face à moi et attendre. Il se laisserait mourir de faim et de soif ainsi ? Pour moi ? Il en était hors de question. Je jaugeais la solidité de mes liens, la verveine éliminée et le sang dans mon organisme, me permettrait sans aucun doute de me libérer. Ni une, ni deux, je tirais d'un coup sec sur les chaînes qui se brisèrent sans que je n'ai à forcer.
    Je me massais les poignets regardant Erke. Il était la, devant moi, enfin. Je ne lui laissais pas le temps de se relever que déjà, je franchis l'espace qui nous séparer à vitesse vampirique. Je m'agenouillais rapidement également avant de le prendre dans mes bras. Je respirais son odeur à plein poumons. Certes j'avais soif de sang, mais le savoir face à moi, l'homme que j'aimais, je n'avais pas envie de goûter au sien. J'écrasais à présent mes lèvres sur les siennes, j'en avais tellement rêver.

    - Tu es là, enfin. Ce n'était pas un rêve. Si tu savais à quel point tu m'as manqué. A quel point j’espérais que tu avais trouvé la paix.

    Je ne mentais pas, c'est l'espoir de la revoir un jour qui m'avait fait tenir ainsi et pendant si longtemps. Cette espoir, ainsi que celui de réduire à néant les assassins d'Erke. Mais pouvais-je les appelaient assassins ? Je le croyais mort et moi aussi, mais finalement nous ne l'étions pas. Je ne comprenais pas. Je ne savais même plus combien de temps j'avais passé ici enfermé.

    - Je t'ai cru mort, je me croyais moi-même morte. Je ne sais combien de temps à passer. Peu surement, mais j'ai l'impression que s'était une éternité.

    De ma main, je caressais son visage angélique qui n'avait pas changé.
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    La fin d'une torture
    Slavinka and Erke

    *Le temps auprès de toi ne semblera jamais assez long.* C'était une phrase que je lui avais dit à l'époque. Elle m'a semblé d'autant plus vrai après tout ce temps enfermé dans un monde sans elle. Tant de temps à la chercher, puis enfin la trouver attaché, immobile, desséchée par le manque de sang. Je lui avais fait boire mon sang, puis enlevé la verveine se trouvant partout dans la pièce et qui l'empêchait de partir. Elle n'avait plus qu'à se détacher, tout cela n'était rien pour elle. Mais elle ne voulait pas, elle se prenait pour un monstre à avoir bu mon sang, mais c'est moi qui le lui avait donné, pour qu'elle se rétablisse. Elle ne comptait pas bouger, très bien... je décidais de me planter devant elle. Je ne l'abandonnerais pas une seconde fois, hors de question, et tout se qu'elle pourra dire ni changera rien! Je mettais donc assis et cela me fit d’ailleurs du bien, car tout à coup, sûrement l’adrénaline passait, je me sentis las.

    Finalement, en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, elle avait brisé ses liens et se retrouvait devant moi, m’embrassant comme jadis, avant une telle fougue, une telle passion… Le goût sucré de ses lèvres je l’avais oublié, tout du moins le peu qui me revenait n’était rien de comparable à ça. Tout comme l’odeur de ses cheveux, de sa peau, comment avais-je pu oublié tous ces détails ? Tout cela dura un temps incalculable, bientôt j’en viens à manquer d’air et nous devons rompre ce contact à mon grand dam. Tout  à l’heure lorsqu’elle avait parlé pour me dire de partir, je n’avais pas écouté et sa voix me semblait venir d’une autre. Elle était belle et bien devant moi, libre comme l’air.

    - Un rêve ? Tu as rêvé de moi souvent, mon amour ?

    Peu de temps ? Elle nous croit toujours en vie. Dois-je lui dire que nous sommes morts, morts il y a plus de quatre cent ans. Je ne sais pas, je ne sais plus ! Si elle ne s’en souvient pas, dois-je le lui rappeler ? Dois-je lui rappeler que je n’ai pas osé la tuer, qu’elle a été torturé et tué et oublié là, par ma faute ? Dois-je lui rappeler tout ça si elle a décidé d’oublier pour s’enlever cette peine ? Ai-je le droit de faire ça ? Sa main caresse mon visage et je l’enlace. Je tiens à parcourir chaque millimètre carré de son corps, je veux me souvenir de tout.

    - Toi aussi tu m'as manqué ? Un jour, une semaine, un mois, une année me semblerons toujours beaucoup trop long, loin de toi!

    Je ne relève pas sa dernière remarque sur le temps. Pas maintenant, je veux pouvoir profiter d'elle un peu avant, j'ignore comme elle réagira à cette nouvelle. Elle doit boire, se remettre d’aplomb et ensuite je lui expliquerais.

    - Sortons d'ici! On doit te trouver à boire! Que je puisse te retrouver, profiter de toi et aussi t'expliquer certaines choses!

    Mes mains de chaque côté de sa tête, je l'embrasse de nouveau, profitant de cet instant en ayant peur que ce soit le dernier. Je l'ai perdu une fois déjà, je ne laisserais pas ça se reproduire. Je me relève ensuite tend la main pour prendre la sienne, lorsqu'elle pose sa main dans la mienne, je profite de ce contact retrouvé durant un instant, mes yeux tombent dessus se rappelant de toutes ces fois où nos mains ont été serré ainsi. Puis je les relève vers elle, vers ses yeux, ses yeux marrons que je n'ai jamais oublié, contrairement à d'autre chose. Puis je rompt ce contact pour l’emmener vers l'extérieur. Seule sa main dans la mienne me rappelle que je ne rêve pas. Nous montons les marches, traversons quelques pièces aussi vite qu nous le pouvons, tous les volets fermés, mais une fois devant la porte d'entrée je me stoppe de nouveau. Elle n'a pas revu le soleil depuis si longtemps qu'elle va en être éblouit et en même temps je n'ai pas vraiment de moyen de l'empêcher. J'ouvre doucement la porte et c'est désormais à elle de mener la danse, elle sortira quand elle le voudra au rythme ou elle le voudra.
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    - Erke & Slav' -
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    Durant ce baiser, je retrouvais tout ce que j'aimais chez lui, son parfum, sa tendresse, sa musculature, ses lèvres à la fois douce et à la fois ferme. Le sentir contre moi était sécurisant. J'essayais de prendre tout ceux-ci en mémoire. Même si je ne voulais jamais être de nouveau séparer de mon homme. J'avais tellement besoin de le retrouver. Nous avions besoin de temps l'un avec l'autre et surtout de ne plus être séparé.

    - J'ai pensé à toi, à chaque secondes et à chaque minutes. Tu hantais mon esprit et c'est grâce à toi que je n'ai jamais abandonné. Je ne me suis jamais résolue à éteindre mes émotions.

    Je ne sais combien de temps nous étions restés l'un loin de l'autre, mais je pouvais voir dans son regard qu'il était tout autant affecté par cette séparation que moi. Quand il me prit dans ses bras, je logea ma tête dans son coup et respira son odeur à plein poumon. Je ne pus m'empêcher de lui faire un baiser au-dessous de son oreille, avant de glisser mes mains le long de son dos. Ses paroles me rassuraient et surtout me donner du bomme au coeur. Nous étions enfin réunis pour ne plus nous lâcher. J'acquiesçais à ces dernières paroles. Il avait raison, je devais apaiser ma soif pour pouvoir enfin penser rationnellement et il avait raison.

    - Je te suis mon amour, je vais boire et ensuite, nous pourrons nous retrouver et rattraper le temps perdu.

    Ses mains posaient de part et d'autre de mon visage et de nouveau ses lèvres se posèrent sur les miennes. Nous nous embrassions comme si nous pouvions être séparé à tout instant. Il me tendit ensuite la main, que je pris avec plaisir pour me relever. J'étais passée en seulement quelques minutes d'un vampire affamé, à une femme comblée, heureuse et qui retrouvait la liberté. En montant les escaliers, je pouvais voir que le temps avait abimé les lieux. Au vu de l'état du bâtiment, beaucoup de temps avait passé. Tant de temps, que à la vu de la ruine se trouvant autour de moi, une larme roula sur ma joue. Erke ouvra légèrement la porte et mes yeux se fermèrent sous l'assaut du soleil. Je pris une grande respiration et cachant mes yeux endoloris derrière mon bras, je sortis d'un bas hésitant. J'essayais d'ouvrir les yeux aussi grand que je le pouvais malgré le soleil. Un nuage vint le camouflé et me permit une petite accalmie.

    - Pourquoi ai-je l'impression que tant de choses ont changé ? J'ai besoin de savoir, je sais que je dois manger, mais j'ai besoin de savoir. Que se passe-t-il ?
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    La fin d'une torture
    Slavinka and Erke

    Je bois littéralement ses paroles, je suis sous le charme comme jadis. Nous nous embrassons langoureusement, passionnément. Elle me dit qu'elle a songer à effacer ses émotions et ses souvenirs, mais qu'elle n'a pas pu s'y résoudre, elle tenait à nos souvenirs en commun et l'espoir de nous retrouver un jour. Finalement, elle prend ma main et se relève. Elle tient sur ses jambes, mais je ne peux m'empêcher de rester près d'elle. Nous montons les marches doucement, une larme lui échappe, mais je ne la vois pas, il fait relativement noir et je ne suis qu'humain. J'ouvre délicatement la porte et elle est éblouit par le soleil. Il lui faut un certain temps pour s'acclimater, un nuage qui pointe le bout de son nez l'y aide.

    Je la rejoins dehors et elle me demande pourquoi elle a l'impression qu'il y a beaucoup de changement.

    - Slavinka. Nous sommes morts tous les deux.... il y a plus de quatre cent ans...


    Aucun tac, c'est signé Erke. Je ne savais pas comment lui annoncer une telle chose. Je ne tenais pas spécialement à lui dire ainsi, mais elle avait insisté et elle avait le droit de savoir, elle allait de toute façon s'en rendre compte rapidement.

    -  De mon côté, je suis mort dans cette bicoque en Bretagne, tu t'en souviens? Pour toi c'est un peu plus flou, je me souviens d'avoir vu un pieu avant de sombrer, mais visiblement tu en as réchapper sinon il ne t'aurais pas amené ici. Ces enfoirés ont du te torturer et ça t'auras été fatal! Ceux là si je les trouve je les tuerais... encore!

    J'en tremblais de rage, rien que d'imaginer qu'on est put faire du mal à l'amour de ma vie, mon ange, mon démon, mon tout sur cette terre. Je me suis mis face à elle pour lui dire cela. J’ignore comment elle va réagir, je suis prêt d'elle certes, mais personnellement quand j'ai comprit se qui mettait arrivé, j'ai explosé tout se qu'il y avait autour de moi. Et je déteste la voir triste ou en colère, cela m’insupporte, mais en même temps je ne supporterais pas qu'elle garde ça pour elle; j'accepte de prendre tout ça en pleine face si ça peut l'aider à aller mieux.
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    ❝ La fin d'une torture ❞
    - Erke & Slav' -
    On croit toujours que certaines relations sont si fortes qu'elles pourront résister à tout, et tou vaincre.
    Il me rejoignit rapidement dehors et je me retournais vers lui. Ces paroles furent comme un coup de massue que je prenais dans le coeur. Slavinka. Nous sommes morts tous les deux.... il y a plus de quatre cent ans... Il me fallait quelques secondes pour assimiler cette nouvelle. Ces paroles raisonnaient sans cesse dans ma tête, je suis morte il y a 400 ans, j'ai passé 400 années dans ce lieu à me dessecher. Comment étais-ce possible ? Mais plus étonnant, malgré notre mort, nous continuions à vivre d'une certaine façon. Je ne savais pas comment il pouvait en être ainsi, mais, après tout, il y avait bien des vampires et diverses créatures en ce monde. Je n'en voulais pas à Erke, j'espérais même qu'il aurait pu trouver la paix et même pourquoi pas qu'il est eu une belle deuxième vie. Il me raconta les circonstances de son décés. Je me souvenais parfaitement de ce jour.
    Lorsqu'il évoqua les tortures que j'avais subi, je le vis dans un tel état d'énervement que je ne pus m'empêcher de lui caresser la joue.

    - Je ne sais pas quoi dire, mais peu importe, nous sommes réuni dans la vie comme dans la mort et c'est tout ce qui compte. Ma vie ou plutôt ma mort m'est satisfaisante tant que je suis à tes côtes.

    Je gardais tout de même en tête les tortures que ce groupe de chasseurs m'avait infligé. Tôt ou tard nous nous rencontrerons et ce jour là, je ne manquerais pas de leur rappeler ce qu'ils m'avaient fait subir. Ce qui m'importait à l'instant présent était l'homme qui se trouvait en face de moi et qui m'avait sauvé encore une fois.

    - Erke, je t'en supplie, dit moi que durant ces 400 ans, tu as été heureux, dit-moi que je ne suis pas la cause de ta vie gachée.

    Je l'implorait presque. J'espérais et je n'avais toujours voulu que son bonheur. Des larmes coulaient sur mon visage.
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    La fin d'une torture
    Slavinka and Erke

    Nous sommes dehors tous les deux. Je la vois profiter des rayons du soleil, avant d'aller vers elle et de lui expliquer, selon sa volonté, que nous sommes morts tous les deux il y a extrêmement longtemps. Elle ne sait comment réagir à cette nouvelle, je le vois bien. Elle me dit néanmoins que cette vie lui convient tant que nous sommes l'un avec l'autre. Je l'aime tellement que pour l'instant ça me convient, mais je sais aussi que je vais tout faire pour lui rendre cette vie que nous avons perdu. Nous faire revenir à la vie et qui sait peut-être boire se remède dont m'a parlé Amaraa ( si elle le souhaite en tout cas). Je ne l'obligerais jamais à faire quoi que ce soit.
    Elle veut savoir si j'ai été heureux? Je vois ses yeux brillaient de larme et elle voudrait que je lui dise la vérité à cet instant... impossible. je ne tiens pas à la faire souffrir d'avantage. Je n'aime pas lui mentir, mais quand c'est pour la bonne cause ça passe non.

    - Ma vie gâchée? Mon amour, ma vie ne sera jamais gâchée quand elle te concerne. J'ai effectivement une belle vie, je n'ai pas à me plaindre. Faudra que je te présente la gamine, elle doit pas être bien loin de toute façon elle me suit partout, ça devrait pas être trop dur.

    Effectivement grâce à la blondinette, ma vie avait été plus simple, plus agréable. Mais bon ça c'était les trente dernières années, avant ça, ça avait été des plus ennuyant. Je ne m'attache que rarement, je chasse, je mange, je dors et je recommence le lendemain. Pitoyable n'est-ce pas? Je m'abstiens de lui parler de cette aspect là de ma vie. Avec elle à mes côtés se sera différents. Enfin dans 400 ans on en reparle, mais pour l'instant en tout cas, y avait pas de raison que je retrouve ma petite routine.
    Pas sûr que mon explication lui convienne, alors je me propose de changer de sujet.

    -  Si tu allais manger un morceau, qu'on puisse ensuite profiter d'être ensemble. On a du temps à rattraper mon amour. Il y a si longtemps que j'attend de pouvoir te toucher, te parler ...

    Eu je venais pas de dire que je devais lui faire croire que j'avais eu une superbe belle vie... Bon elle relèvera peut-être pas, on verra.


    - Je vais t'attendre un peu plus loin dans le chemin si tu veux. Je te laisse gérer... par contre si tu reviens pas très vite, je te tue...

    Et je supporterais pas de te perdre une seconde fois? Oui bon bin je pense que je suis grillée ein, en terme de faire croire des choses, surtout à elle je dois pas être si doué que ça.
    La laissé seule pour chasser alors qu'on a passé 400 ans loin l'un de l'autre ? Oui bin je suis un chasseur dans l'âme, même si avec elle j'ai essayé de me calmer un peu, alors là voir boire du sang humain, j'ai beau savoir qu'elle les tue pas, qu'il souffre pas plus que ça, je suis désolé c'est plus fort que moi, je peux pas.

    Je vois au loin le soleil se cacher de plus en plus. Il ne doit pas être de bonne heure. j'ai du passer plus de temps dans cet endroit que je ne le croyais. Il va bientôt faire nuit.
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