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    Voir au delà de ce qui est!

    J'ouvre difficilement les yeux, la lumière est aveuglante. Je suis chez moi à la villa, enfin je crois. Je ne sais pas trop exactement à vrai dire. Je ne sens la présence d'aucun des membres de ma famille. Je retire le drap, je m'assoie sur le bord du lit. La pièce est d'un blanc éclatant. Je ne comprends rien, d'habitude il y a des meubles, des tableaux, mais là rien... Je me lève pour jeter un œil par la fenêtre et au lieu d'une forêt se trouve des dizaine et des dizaine de building. Ils sont si haut.
    je sors de cette chambre pour aller dans une autre pièce, n'importe laquelle  tant que je trouve quelque chose de connue, mais rien... Pas une âme qui vive, pas une photo, pas un indice sur ce que je fais là et encore pire sur qui je suis. Je suis sûre de ne pas être à ma place, je le ressens au plus profond de moi, mais sans non plus savoir qui je suis, ce qui est des plus déstabilisants.
    Machinalement je trouve le café dans la cuisine, son gout est agréable dans ma bouche, ce n'est pas censé être le cas mais encore une fois je ne sais pas pourquoi; Je l'ai su, mais j'ai oublié.
    Je passe rapidement par la case douche, d'un claquement de doigts. Comme si rien que d'y penser, mis emmenais directement. Sous l'eau j'aperçoit un tatouage sur mon avant bras. Il n'est pas des plus agréable, mais il est plutôt bien fait néanmoins... pour la néophyte que je suis en ce domaine.

    Je me décide enfin à sortir, une fois prête, sans oublier une veste à me mettre sur le dos. il y a quelque chose dans l'une des poches, mais je n'y fais pas attention pour l'instant. J'ai réussi à trouver une robe dans la penderie, mais elle est noire. je n'ai que du noir, allez savoir pourquoi.
    Une fois dehors, j'avance dans les ruelles. J'avance, je regarde un peu partout. Mes pas me guident, ils connaissent visiblement mieux le chemin que moi. Je me retrouve devant un énorme bâtiment. J'y rentre, tout le monde me salue, visiblement je suis déjà venue plus d'une fois ici, J'y travaille même très certainement. Mes pas continuent à me guider, je vais visiter un peu ...
    Il y a des êtres vraiment très étranges qui se promènent, avec de longues oreilles. Ils sont très petits. J'ai un mouvement de recul lorsque l'un d'eux me regarde. Visiblement il a l'habitude que les gens le regardent bizarrement et lorsque je m'en excuse il est d'autant plus perdu, voir même inquiet. Je rentre dans un ascenseur derrière une jeune femme. Je suis persuadée d'être déjà venue, et plus le temps passe, plus je me reconnais dans ce monde étrange.

    Afterglow

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    Il est six heures du matin, il fait complètement noir et je n’ai aucune envie de me lever. Je m’enroule dans mes couvertures. Une main me caresse la joue des lèvres m’embrasse les lèvres et je m’éveille. Je fronce les sourcils, désarçonnée par le fait de me réveiller, les vampires ne dorment pas et qui est cet homme qui m’embrasse et à qui je réponds avec passion ? Je me levais automatiquement allait prendre ma douche et m’habillais dans des gestes automatiques. J’attrape une pomme que je mange sans difficulté, je bois un chocolat chaud en en appréciant le goût, ce n’est pas normal ça non plus. J’attrape mon sac et vérifie que ma baguette se trouve bien dans ma poche. Attendez une minute, baguette magique ? Je fronce les sourcils mon époux me demande si tout va bien. Je hoche la tête et démarre m’en vais.

    Où est-ce que je vais ? Je n’en sais rien. Mon cerveau lui semble le savoir par contre. Je marche en répondant poliment aux « Bonjour mademoiselle Hamlet » qui me sont destinés je réponds en nommant les personnes, ce qui veut dire que je les connais… Je d’accord… nous sommes dans un monde parallèle. Je continue ma route naturellement, jusqu’à arriver à Gringots la banque où je dois récupérer le médaillon de ma grand-mère, pour l’offrir à sa première arrière-petite-fille.

    J’avance vers le comptoir et me présentais à un gobelin revêche – Comme d’habitude me direz-vous – lui demandant de me mener au coffre familial. Une autre sorcière m’interpelle me demandant comment se porte ma fille à naître et c’est là que je remarque mon ventre rond, je suis enceinte.

    - Elle va très bien, la naissance est prévue pour dans trois semaines répondis-je naturellement.

    Je fus conduite au coffre et récupérait le médaillon de couleur bleue et argent, normale nous sommes toutes serdaigle dans la famille – Enfin je suis censée être un vampire mais passons – En me dirigeant vers la sortie de la banque je me rends compte qu’une femme – Ma mère, mais si moi je le sais la gourgandine de sorcière que je semble posséder n’en sait rien – regarde le gobelin comme si il n’était pas normal qu’il soit là.

    - Aurait-on laissé une moldue rentrer ici … OUBLIETTEUR !

    Qui est la pétasse qui vient de dire ça ? Il semblerait que ce soit moi. Vous crooyez que si je me tape la tête contre le mur je vais redevenir moi-même ?  

    Emi Burton
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    Voir au delà de ce qui est!

    A côté de moi arrive une jeune femme blonde. Je la reconnais immédiatement, il s'agit de ma fille, Linéa. Comme elle est belle! Pourtant des mots étranges sorte de sa bouche. Assez vite je fais un + un. Des souvenirs me remontent en mémoires au fur et à mesure que le temps passe. Je plonge ma main dans la poche de ma veste et je sens un bout de bois, ou plutôt une baguette. Je la sors machinalement comme un signe de mon identité, plutôt qu'une carte ou un passeport. Ça m'a l'air plutôt normal pourtant, c'est fait machinalement. je la montre aux personnes devant moi.

    - Une moldue !! Ai-je vraiment l'air d'une moldue ?

    Je suis en colère... Pourquoi suis-je en colère ? Ah oui je hais les dénommés moldus. j'ignore ce qu'ils m'ont fait, mais visiblement rien d'agréable. Mon bras me démange étrangement quand je constate que l'on est pu me prendre pour l'un d'eux. Instinctivement je pense à lui faire payer un tel affront. Mais je dois faire attention à mes actes et mes paroles. pourquoi ? je ne comprends pas encore tout très bien. Tout n'est pas très clair dans ma tête. J'ai l'impression d'avoir été propulsé dans un monde qui n'est pas le mien et au fur et à mesure je retrouve mes souvenirs et mes sensations, mais s'agit-il vraiment des miens ?

    - Je vous remercie messieurs, mais il n'y avait nul besoin de vous déplacer. C'est un malentendu. je me suis perdue durant un instant, j'avais la tête ailleurs. Gringotts est si grand, il est facile de s'y perdre. Et comment diable un moldu aurait-il pu rentrer ici, voyons ?

    Oui je savais ce qu'elle disait en parlant de moldu et le fait que je sache où je me trouvais eu enfin l'air de les convaincre. j'ai eu chaud!
    Mes yeux virèrent au noir en se tournant vers la jeune femme. j'avais simplement envie de serrer ma fille dans mes bras, mais j'en étais incapable, comme si un autre tiré les ficelles.
    L’ascenseur finit donc par se refermer et nous pouvons enfin monter jusqu'au dernier étage. Je sais que mon bureau se tient par là. Arrivé au troisième, un homme roux monte, un Weasley. je hausse les yeux, mais rien de plus. Ils me sortent par les yeux aussi eux. Bon sang de famille de traître! Notre ascension continue sans encombre.

    Afterglow

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    L’exaspération d’Esmée me fit mal au cœur. La vampirette en moi se battait contre cette sorcière qui n’était absolument pas moi et la haine contre les humains que je lisais dans les yeux de ma mère ce n’était pas elle, non plus ! Je n’y comprenais absolument rien. À en croire nous étions plongées dans le monde de Harry Potter et je m’y sentais pleinement à l’aise. Il semblait en plus que j’étais l’une des sorcière sang pur qui se prend pour dieu en rabaissant les moldus plus bas que terre et ça, ça me rendait malade, littéralement, mon estomac se retournait. Oui enfin ça c’était peut-être uniquement dû à ma grossesse :

    - Je suis enceinte

    Murmurais-je n’y comprenant strictement rien moi-même. Tout ça ne devait être qu’un rêve si c’est le cas je vais me réveiller en pleurant très certainement. Minute, un vampire ne dort pas. Je posais un regard sur ma mère mes yeux criaient au secours mais ma posture était dédaigneuse, prétentieuse. J’étais tout ce que je détestais :

    - Si vous n’êtes pas une moldue pourquoi regardez-vous ce goblin comme s’il vous faisait peur ?

    Mais qu’est-ce que c’est que ce ton que j’utilise là encore ? Je soupire intérieurement les oublietteurs partirent assez rapidement. Ma mère me regarda d’une manière sombre, je sais que ce n’est pas elle que ce n’est pas de son plein gré mais mon cœur se serra tout de même.

    La banque manquait de couleurs, nous approchions de noël et pourtant rien ne le montrait dans cette banque. D’un coup de baguette magique la banque se para de guirlandes rouges et de sapin de noël ainsi que d’une légère neige qui tomba dans l’établissement. Je m’apprêtais  à sortir quand une autre sorcière m’interpella Molly Weasley :

    « Linéa ! Arthur voudrait te voir, rien de grave rassure toi »

    Je fronçais les sourcils mais hochais la tête et suivit la mère de famille nous montons au troisième étage m’arrêtant devant la porte  d’Arthur, voyant le regard d’Esmée je m’adresse à elle directement :

    - En cette période de Noël, vous devriez admirer l’amour de cette famille au lieu de les regarder comme des traitres à leur sang


    Emi Burton
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    Je suis coincée dans ce corps qui n'ai pas le mien. Je suis à l'étroit dans ce corps de sorcière noire, je ne m'y reconnais nullement et pourtant....  Et voilà la jeune femme qui dit qu'elle est enceinte, dans un souffle... "Tant mieux pour elle!" Je hausse un sourcil mais ne répond rien, il n'y a rien à répondre.
    Peur ? Moi peur d'un gobelin ? Bon ok la vraie moi a été extrêmement surprise, mais l'autre Esmée qui porte un autre nom puisqu'elle n'est pas moi, n'en a nullement peur, elle est seulement  agacée par cette discussion, par ces gens qu'elle méprise. Une fois de plus il n'y a rien à répondre. je m'adresse donc directement aux oublietteurs. Elle met ensuite de la couleur un peu partout, je sais que c'est elle... si ça peut lui faire plaisir. personnellement toutes ses couleurs me donnent envie de vomir, mais je fais comme si de rien était.
    Je parle dédaigneusement aux personnes qui m'entourent, les regardent de haut, comme cette femme rousse qui surgit de nulle part et qui m'a l'air pourtant fort sympathique. Elle sourit devant la jeune femme, devant ma fille Linéa qui n'est pas vraiment ma fille, mais pas devant moi. Elle aussi doit savoir que je suis, enfin que celle dont j'ai le corps est un monstre sur pattes.

    - Ils le sont tout simplement, nul besoin d’épiloguer sur le sujet.

    Lui- dis je lorsqu'elle me dit de ne pas les voir comme des traitres, que je devrais admirer cet amour dont ils font preuve. Trop de mièvrerie, j'en suis entourée, il est temps que je me retrouve dans mon bureau, loin de tout cela.
    Je suis sur le point de quitter les lieux pour m'éloigner d'eux, lorsque la véritable Esmée que je suis parvient à reprendre momentanément le corps dans lequel je suis :

    - Linéa c'est moi, ta maman!

    Dis-je, en lui attrapant le bras fermement, en la regardant avec toute la détresse dont je suis capable. La seconde d'après l'horrible sorcière a repris le dessus, là lâche avec mépris et la dévisage, ne comprenant pas ce qu'il vient de se passer, se frottant les mains de dégout.

    Afterglow

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    Ce comportement n’était pas naturel pour la femme qui m’avait accueillie comme sa fille et le mien non plus. Je marchais comme ces gamines de film américain vous savez celles qui balancent leur cul et se vantent de leur beauté digne des déesses grecques ? Prétentieuses et sans cervelles, vous avez l’image ? alors vous comprendrez que je m’auto-dégoûte.

    Alors que je me trouve devant la porte, le bébé me met un coup de pied et la femme dont j’ai pris la place prononce des mots que je n’aurais jamais cru, possible que de telles infamies sortent de ma bouche :

    « J’aurais dû tuer ton père avant qu’il me mette enceinte tes coups de pieds sont infernaux petite vermine »

    Ces mots ne peuvent pas être les miens c’est impossible. Je ne peux pas avoir dit une horreur pareille à mon propre enfant. Molly me regarde avec pitié, comme si elle comprenait ma colère que je ne comprenais pas moi-même. Peut-être cette jeune sorcière n’avait-elle pas consenti à la procréation ? Peut-être l’enfant était-il le fruit d’un viol ? Cette simple idée vida mon visage de toutes ses couleurs. Ayant moi-même été violée et battue il ne m’était pas compliqué de comprendre cette jeune femme. Je secouais la tête peut-être était-elle simplement une véritable garce incapable d’aimer son enfant c’était tout.

    - Vous n’avez pas de famille vous, ça se voit !

    Répondis-je à la femme qui ressemblait à Esmée sans être Esmée. La fille que je « possédais » devait être bipolaire. Comment pouvait-on rejeter son bébé à ce point et pourtant défendre les valeurs d’une famille bec et ongles ? Je n’y comprenais rien, j’ai dû perdre la tête ou alors je dois être réellement entrain de rêver.

    Durant un court instant ma mère semble reprendre ses esprits et pose sa main sur mon bras. Au même instant je repousse l’esprit de celle que j’habite actuellement pour réussir à articuler cette phrase :

    - Maman, mais qu’est-ce qu’on fait ici ?

    Il fallut moins de trente secondes à l’autre femme pour se détacher de moi et me regarder avec dégoût je soupire :

    - J’ai honte d’être une sang-pur parfois …


    Emi Burton
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    Si il y a bien une chose sur laquelle la sorcière et moi sommes d'accord c'est sur le fait que nous n'avons pu être mère, alors entendre cette gamine traiter ainsi son enfant à naître nous est insupportable. Peut importe la raison, cet enfant ni est pour rien. Et c'est elle qui ose me faire des remarques sur la famille. Ma famille m'a lâché dans les bras d'un monstre, mon alter ego est une fois de plus d'accord avec moi ... eu ça devient étrange là. Nous avons vécu de nombreuses choses similaires visiblement, mais à voir comment j'ai finit et comment elle a tourné, c'est d'autant plus inquiétant. j'espère de tout mon cœur ne pas finir comme elle, ne pas devenir un monstre. Je sentais sa colère monter et sa main se serrait sur sa baguette. J'avais réussit à intervenir une fois, mais je doutais de pouvoir recommencer, son esprit était fort. Elle s'était laissé surprendre, je l'entendais clairement dans ma tête me dire que ça ne se reproduirais pas de ci-tôt.
    Grace au ciel, j'avais eu Carlisle sur mon chemin à un moment de ma vie où je me croyais perdue à jamais et j'avais l'une de mes filles devant moi, Je devais trouver un moyen de revenir à ma vie à moi, mais comment, je ne connaissais rien à la magie; j'ignorais comment nous en étions arrivé là. Peut-être cette sorcière pourrait-elle m'aider, même sans s'en rendre compte. il devait bien y avoir un moyen de rentrer et il se trouver forcément ici, comme un portail ou un truc du genre. Elle se dirigea vers son bureau, sans un mot de plus vers l'autre sorcière, vers ma fille.

    Une fois dans son bureau, elle se mit à écrire je ne sais quoi, c'était incompréhensible pour moi. Elle passe ainsi sa journée à parler à des gens tous plus étranges les uns que les autres. Durant un autre moment je parviens à reprendre possession de son corps mais les mots que j'écris sont indéchiffrables; ce n'est pas gagné. Le soir venu elle quitte son bureau, elle quitte la banque et se retrouve chez elle. Elle s'endort après avoir mangé un morceau, en songeant à ce début de journée bien étrange.
    Une fois endormit, enfin qu'elle est endormit je me rend compte que je peux agir avec son corps, comme si il était le mien. Je me relève donc et me mets à la recherche de ses livres aperçut à mon réveil. Je dois pouvoir trouver quelque chose. J'aperçois une chouette dans une cage et après en avoir vu toute la journée je comprends que je peux envoyer des messages. Elle n'avait qu'à dire à voix haute à qui ce message était dévolu et la chouette trouvait son propriétaire. J'allais commencer par écrire à Linéa. Si elle su me répondre ce matin, elle aurait surement la possibilité d'agir sur son corps comme moi, non ?
    Je lui écrivais un message rapide. c'était très mal écrit, mais compréhensible. Je libère la chouette, lui dit à qui est destiné ce courrier, avant de tomber de fatigue et de décider d'aller me coucher. Il va me falloir du temps pour arriver au bout si à chaque fois que je fais la moindre action je m'épuise ainsi, mais je ne vois pas d'autre solution de toute manière.

    "Linéa, Je n'ai rien trouver de mon côté. Demain j’essaierais de trouver un sortilège. On se voit à Gringotts." Cours, clair, concis. je n'avais pas mieux en stock.
    Le lendemain matin, la sorcière refait le même manège que la vieille. Une fois à la banque, je cherche Linéa des yeux, enfin tout du moins la femme dont elle a prit le corps, mais je ne la vois nulle part. Lui est-il arrivé quelque chose ?

    Afterglow

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    Tout cela n'avait aucun sens. Je n'étais pas dans mon propre corps j'étais enceinte de huit mois et j'étais la pire des garce.


    Ma journée avait continué son cours j'étais retournée au bureau de la brigade de la police magique. Évidemment mon hôte n'avait pas cessé de râler car elle pouvait pas aller sur le terrain dans son état.

    L'un de ses collègues lui avait proposé de venir avec lui pour faire les photos d'un cambriolage réalisé avec la précieuse aide de niffleurs et vous savez comment elle lui a répondu ? Non éh bien vous n'êtes pas prêt. Ses mots m'ont choqué ce ne pouvait pas être ma bouche qui les avait prononcé:

    - Tu as de la chance d'être mon cousin sinon tu serais déjà mort espèce de sale sang de bourbe.


    Elle avait vraiment une drôle de manière d'aimer sa famille cette jeune sorcière. Enfin bref elle avait donc refusé de partir avec son cousin et était resté au bureau pour éplucher les plaintes. Ces dernières parlaient de chose qui n'existe pas dans notre monde. Une femme visiblement atteinte de démence disait avoir entendu un bébé d'environ deux mois parler fourchelang. Harry Potter aurait-il un nouveau fils surdoué ? Je ris un peu à cette idée stupide. Les heures s'enchaînaient et se ressemblaient.

    Vers dix-huit heures la jeune femme rentra chez elle accueillie par son époux pour qui elle éprouvait un certain dégoût. Plus le temps passait plus je me demandais ce qui lui était arrivé. Avait-il abusé d'elle ? L'avait-on obligée à l'épouser parce qu'elle portait son enfant ? Cette idée me donna envie de vomir.

    C'est à ce moment là que je reçus le message d'Esmée mon hôte allait le déchirer mais dans un dernier effort je pu l'en empêcher. Je pris connaissance de la lettre tout en espérant que ma mère ait trouvé une solution le lendemain.

    Je me réveillais vers six heures et me préparais pour aller à la banque. Mon mari me fit un véritable interrogatoire et je tentais de répondre à ses questions en me retenant de lui en coller une ce qui croyez-moi était compliqué:

    - Oui je dois y retourner pour des papiers ma grand mère était paranoïaque et tu le sais très bien..


    Je quittais la maison et me dirrigeais vers Gringots tranquillement mais une fois à cent mètres de notre lieu de rendez-vous je fus attrapé par le bras. Le mari de mon hôte était entré dans une rage folle, me hurlant que je n'avais aucun droit de sortir sans sa permission, j'étais terrorisée et en retard à mon rendez-vous avec ma maman..


    Emi Burton
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    La sorcière que je suis tente de comprendre ce qui lui ai arrivé depuis deux jours et elle me laisse d'avantage de place. J'ignore si c'est volontaire ou non, mais j'en profite en tout cas, un peu plus qu'hier où j'ai vu défiler ma journée sans pouvoir rien y faire. Elle ne voulait pas que j'ai le dessus hier, alors pourquoi me laissait d'avantage de place de manœuvre aujourd'hui ? Cela l'avait surement fatiguée!

    Sans nouvelle de Linéa a l'heure prévue, je m'étais dit qu'elle n'avait surement pas pu contrôler d'avantage sa sorcière. Je décide de sortir de ce bureau et de la trouver. Il me faut combattre la sorcière en moi quelques instants, mais je finis par avoir gain de cause : "Si je peux parler avec elle, je trouverais un moyen de partir et je vous laisserais tranquille!" Ma phrase l'avait visiblement atteinte, puisque je me promenais désormais librement dans Gringotts. je sais qu'elle me surveillait pour que je ne fasse pas ou ne dises pas n'importe quoi, mais elle était une bonne professeur et je n'eu aucun mal à me rendre à l'extérieur.
    Je la cherchais des yeux, je tentais tant bien que mal de l'apercevoir. La sorcière me conseilla un sort de localisation, mais ce n'était pas mon truc, alors elle prit sa baguette dans sa main, prononça quelques mots et je n'avais plus qu'à suivre je ne sais quoi. Je restais stupéfaite devant son sortilège qui nous amena bien vite à destination.

    La sorcière dont le corps servait de réceptacle à ma fille était tenu fermement par le bras par un homme plutôt véhément dirons nous.

    - Lachait là !

    Mon hôte et moi étions toutes les deux d'accord et nous avions dit cela d'une seule et unique voix. ravie de savoir que nous pourrions faire quelques chose de cette sorcière. visiblement elle en avait après les humains et les être surnaturels qu'elle jugeait inférieur, mais voir un homme s'en prendre à une femme la faisait sortir de ses gonds et j'en étais ravie. Elle pourrait donc m'aider.
    Elle pointa sa baguette sur l'homme en question et le fameux tatouage fut mit à nue. Oups! Ça ce n'était pas prévu dans son programme visiblement. Nous avions était un peu trop véhémente sur ce coup là, toutes les deux. J'ignorais toujours ce que signifiais ce tatouage, mais visiblement pas les deux autres face à nous.

    Afterglow

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