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    Strangers who know each other
    With Esmée Cullen
    Depuis que le musée à la Nouvelle-Orléans est en rénovation et également en fouille archéologique, je suis en repos pendant un long moment. Je décide alors de prévoir un de mes amis à Forks, j'aime beaucoup cette ville calme et mystérieuse à la fois. Je l'appelle et je lui propose qu'on se voie à Forks pendant quelques. Il accepte sans hésiter et me propose de m'héberger. Cela fait une éternité qu'on ne s'est pas vue, alors autant en profiter.

    Quelques instants après le coup de téléphone, je prépare ma valise et je réserve mon billet d'avion pour partir à Portland d'ici demain. Je lui envois un SMS pour qu'il vienne me chercher vers quinze heures à Portland ,vu que mon avion décolle pour treize heures trente et que j'ai deux heures de vol. Il me dit qu'il n'y a pas de soucis et que je lui dis quand je serais à destination.

    Mais avant de partir, il fallait que je me prépare des potions pour dormir. Je n'ai pas très envie que Moïra attaque mon ami pendant que je dors. Je m'en voudrais terriblement qu'il ne soit plus présent à cause d'elle. Je me saisis du grimoire de ma grand-mère et je me réfère aux ''Élixirs Relaxants''. Alors, de l'Orchidée de Marelok pour le côté somnifère, de la Labelia pour perturber mes pouvoirs et également ceux de Moïra et pour finir la boisson de mon choix. Je mélange et je le mets dans ma gourde et non dans des fioles en verre. La dernière fois, Moïra me les a brisées en mille morceaux alors depuis je le mets dans ma gourde.

    Je vais en profiter également pour me faire des infusions de verveine et d'aconit. Nous ne sommes jamais à l'abri d'un loup ou d'un vampire. De l'eau, une plante de chaque, dans deux casseroles et laissons mijoter quelque minutes. Heureusement que ma grand-mère m'a donné de bons conseils en cuisine sinon je serais une vraie quiche. Et pour les potions, je ne te dis pas, mon Dieu, seigneur Jésus-Christ. Pourquoi je dis ça ? Faut que j'arrête les séries ! Il est temps que j'aille dormir.

    Nous sommes le lendemain, il est onze heures du matin et comme à son habitude Moïra m'as fait un message en cassant une fois de plus mon miroir. Heureusement que je connais la formule pour réparer un miroir. Fenetre san a soundre ,Fenetre san a soundre. C'est en le réparant que je la vois à la place de mon reflet.

    « - J'espère que tu t'amuses bien à casser mon miroir, je le réparerai toujours !
    - Oh que oui ! Mais je ne m'arrêterai pas là, mon cher hôte.
    - Profites-en, car quand je me serai débarrassé de toi, je ferai en sorte que tu ne reviennes jamais d'entre les morts. »


    Je repars dans ma cuisine pour pouvoir prendre mon café et je me rends compte qu'il ait un peu froid. C'est le moment de voir si j'arrive à le réchauffer sans exploser ma tasse. Je me concentre sur ma tasse et d'imaginer mes mains comme une source chaude. Et merde, encore une fois, je me suis éclaboussé de mon café. J’espère maîtriser cet élément un jour. Je pars sous la douche, je m'habille, je coupe mon eau et mon gaz avant de prendre ma valise et d'attendre mon taxi.

    Le véhicule avec compteur vient d'arriver et me conduit à l’aéroport. Je prends place dans l'avion et je mets à lire un livre ancien et rare d'Edgar Allan Poe. Deux heures et demi, j'ai du temps à tuer. Arrivé à Portland, j'ai appelé mon pote que je suis arrivé à destination et me répondis aussitôt en me disant qu'il était déjà arrivé. Il me fait signe de sa voiture et j'accours vers cette dernière. Et direction Forks en racontant nos ébats sentimentaux et sexuels, on en pisse de rire à chaque fois.

    Arrivé à Forks, il a voulu qu'on s'arrête au café au bout de sa rue après que j'aie déposé mes affaires. Une fois, ceci fait, on repart de chez lui et sans faire exprès, je bouscule une femme.

    « Désolé madame, je ne vous ai pas vu. Pardon. »


    Code by Joy
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    Amaël & Esmée
    Strangers who know each other


    Voilà maintenant quelques jours que nous étions rentrés d'Italie. Tout allait pour le mieux dans cette famille, enfin. Rosalie et Emmett commençaient à se rabibocher, même si c'était loin d'être terminé. Carlisle avait déjà reprit le travail, comme toujours. il allait beaucoup mieux, même si le pourquoi du comment restait un mystère! Pour ma part, j'avais eu une conversation par skype avec mes clients depuis Florence et j'étais passé voir l'avancer des travaux hier. Plus que une ou deux semaines et je repasserais les voir pour la décoration. Le mari devait passer à la maison dans les prochains jours pour m'apporter un meuble à retaper. j'aurais pu le faire moi-même avec ma force vampirique, mais qui dit Cullen dit discrétion,  donc je m'étais abstenue. Et puis, si il s'avérait trop lourd même pour moi, Emmett pourrait me donner un coup de main, mais nous verrions ça plus tard.

    Bref, je profite de ma journée de libre pour aller manger à la cafétéria de l’hôpital avec Carlisle, enfin au moins faire semblant et les gens aimait bien voir M. et Mme ensemble, et nous ça nous faisait plutôt rire, même si nous ne prenions jamais grand chose, que bien sur nous ne mangions pas, mais ça c'est une autre histoire.
    Je me rends ensuite chez la fleuriste pour remettre un peu de vie dans cette maison c'est là qu'on voit que Alice n'avait pas été là non plus pendant un long moment à la villa, comme si il n'y avait pus autant de vie, je devais donc remédier à ça et rien de mieux que des fleurs pour égayer un peu.
    C'est au coin de la rue que je me fais bousculais par un jeune homme. visiblement il ne m'a pas vu et je suis d'humeur joviale, bon je le suis tout le temps, donc je lui pardonne aisément.

    - Y a pas de mal, ne vous inquiétez pas! Tout va bien, je suis en un seul morceau! Et vous, vous ne vous êtes pas fait mal ?

    Il m'en fallait plus que ça, pour ressentir la douleur, lui par contre avec la force qu'il y avait mit avait du ressentir quelque chose. Je ne l'avais jamais vu ici, par contre j'avais déjà croisé son ami à ses côtés, j'en étais certaine, sans savoir d'où ( oui Forks est une petite ville). Je souriais donc à ce garçon, puis à celui qui me faisait face. Je ne faisais pas du tout le rapprochement avec le sorcier dont Carlisle m'avait parlé voilà quelques temps, comment le pourrais-je, à première vue, ce jeune homme avait l'air charmant, bon pour moi tout le monde est charmant, tout le monde est mignon, mais que voulez vous, je suis comme ça, je n'arrive pas à réfléchir autrement.

    - Vous êtes nouveau en ville je me trompe ? Je me rend compte que cela ne me concerne pas au moment où les mots dépassent mes lèvres, il est trop tard. - Oh je suis désolée, ça ne me regarde pas, c'est simplement que je connais tout le monde de près ou de loin ici et une nouvelle tête à Forks ce n'est pas si courant!
    AVENGEDINCHAINS
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    Strangers who know each other
    With Esmée Cullen
    Après avoir bousculé la femme brune et de m'être excusé, elle me rattrapa avec la parole qu'il ne fallait pas s'en faire et que ce n'était rien, qu'elle était encore entière. Elle me demande si moi-même, j'avais pas mal. Pas que je sache en tout cas. Si j'avais mal, je pense que je le sentirais quand même.
    Je hoche la tête négativement en haussant mes épaules en lui donnant une réponse quelque peu confus.

    Au moment où j'allais repartir avec mon ami, elle m'interloque de nouveau en me demandant si j'étais nouveau à Forks. Je regarde mon ami avant de la regarder de nouveau et au moment où j'allais répondre à sa question, elle s'excuse et me dit que cela ne la regarde pas.

    « Ne vous en faites pas, madame. Ne vous excusez pas pour si peu. Mais effectivement, je suis de passage ici. Je suis de la Nouvelle-Orléans et j'ai une semaine de vacances, alors j'en ai profité pour voir mon ami. »

    Même si j'avais d'autres raisons me menant ici. Comme l'affaire de ma grand-mère. D'ailleurs faut que je pense à aller voir un inspecteur au commissariat demain à la première heure. J’espère que l'enquête finira et retrouvera cet assassin pour que je puisse le tuer. Il a volé une vie et justice sera rendue. Cependant, le fait d'avoir heurté la jeune femme, enfin pour moi, elle est jeune, me mettait dans l’embarras.

    « Auriez-vous un instant actuellement ? J'aimerais vous offrir une boisson pour me faire pardonner de mon manque d'attention. Avec mon ami, on se rend au café là-bas, accepteriez-vous ? »


    Je ne pouvais pas savoir à l'avance de sa réponse. Après tout, je suis sorcier et non devin. Tiens quand on parle de sorcellerie, Moïra refait surface dans ma tête.

    « - Bah alors, Amaël, que se passe t'il ? Tu n'es pas content de m'entendre ?
    - Finalement, je commençais à m'adapter à me sentir seul dans mon esprit. C'est Agréable !
    - Rigole aussi longtemps que tu voudras. Mais en attendant, tu ferais mieux de rester sur tes gardes dans cette ville.
    - Écoute-moi bien, je suis en danger partout où je me rends. Je ne sais pas comment ça se passait quand tu étais vivante. Mais aujourd'hui, tout le monde est en danger. Humains, sorciers, vampires et loups compris.
    - Nous avons un destin commun, c'est pour ça que je suis revenue. »


    Une fois notre dialogue entre âmes, je remarque tardivement que mon pote m'avait adressé la parole et me demande ce que j'ai.

    « Je suis désolé. J'ai… J'ai eût une absence. Excusez-moi, je manque e politesse. Je m'appelle Amaël. Amaël O'Connell.»

    Je ne pouvais en aucun dire qu'une sorcière en moi me fait la misère depuis des années. J'en ai assez de cette femme. J’espère que la passante que j'ai bousculée n'aura pas de surprise de ma réaction.


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