Alors que j'étais sortis, je ne savais pas ce qu'il se crapahutait non loin de chez moi dans une station service. Partit pour des réparations à domicile pour une petite voiture, j'étais sur la route du retour pour revenir chez moi. Rentrant d'abord dans mon appartement, je descendis ensuite pour aller à mon bureau pour mettre à jour mes rendez-vous, tout se passe bien ! Je range des affaires musiques à fond, une météo de plus normal. Même si les hivers étaient très froid, c'était soft comparait à d'où je venais, cependant, je me basse en entendant un gros raffut et voyant alors la voiture, défoncer mon garage, je vis rouge.

Sortit du bureau, je pars vers donc le véhicule ayant défoncée ma porte, l'homme tire en plus de cela, une égratignure sur l'épaule, je m'en moque. Je le vois alors sortir du véhicule.

-Espèce de...

Je pris son bras avant qu'il ne tire, je lui tord, au point de presque le cassé avant de tout simplement lui claquer le visage dans le capot avec violence. Je le pris par le col et le traîne alors hors de mon garage.
Je suis une femme mais je sais me battre, sans compter que j'étais autre chose, d'ailleurs, en sortant, je ne m'attendais pas à voir un autre loup, je sentais ce que tu étais et tu devais sûrement sentir ce que je suis aussi.
Je jette le criminel au sol comme un déchet d'ailleurs et te regarde alors de nouveau. Le criminel avait différente odeur sur lui, il n'était sûrement pas seul.

-Salut, te disais-je alors simplement.

Je finis par avancer un peu et regarde alors les dégâts, déjà, pas de mur porte de niquer, ma maison ne tombera pas alors au sol, c'est déjà ça mais je soupire longuement, j'en chopais toujours pleins la gueule quand je regarde, comme actuellement, quand je ne tombe pas sur mon ennemi, un mec défonce tout avec sa bagnole.

Je regarda alors mon bras à tes dires, c'était que le sang qu'il restait, sinon, c'était actuellement déjà refermer, quand tu es un loup, avec guérison, c'est des plus niquel!  Je regarde l'homme, qui ne bougeait plus d'un pousse, c'était mieux ainsi faut dire, puis ensuite, je te regarde de nouveau.

- Je lui ai pété un os donc sûr, qu'il ne bougera pas.

Je souris simplement puis regarde mon garage, je soupire doucement devant tant de dégât que j'avais payer cher. A tes mots, je souris, si je bricole souvent? Vu mon âge, ouais surtout que j'étais la propriétaire.

- Yriennai Jorgensen, mais appelle moi Yri, plus facile à prononcer. Je suis mécanicienne et proprio de ce garage depuis mes 26 ans, donc je bricole beaucoup oui.

J'étais énervé, mais face à toi, je gardais mon calme, tu n'avais rien faire après tout! Mais l'assaillant, je m'étais vengée, il n'est pas mort, qu'il soit heureux! Je finis par approcher pour mieux voir les dégâts, donc, le magasin encore là, salle de repos aussi et le bureau de même. Des étagères de mortes, des armoires mais aucun mur porteur de niquer. J'en suis contente. Je te regardais parfois du coin de l'oeil, sentant ce que tu es.

- Une fois la bagnole viré, réparation.

« -Ambulance ou non, la prochaine, on ne me menacera pas ou ne démontera pas mon garage auquel je tiens. » Je souris suite à mes dires avants de tout simplement croisé les bras à tes dires par la suite, alors comme ça, en plus de sentir le loup, tu savais faire de la mécanique aussi ? Hé bien, cela pourrait ainsi faire un terrain d'entente. « -Hé bien dans ce cas, j'accepte ton aide. »

J'aurais bien dit, que je savais ce que tu étais et que toi aussi, tu savais aussi, mais on ne voulait sûrement pas faire d'embrouille ou autre pour le moment, surtout qu'il se trouvait que j'étais une alpha mais solitaire et ça, ça ne faisait pas souvent bon ménage, mais je le cachais un peu ce côté dominant avec l'odeur de suit et d'essence de mon garage.
J'entendis alors les sirènes de polices, je ne dis rien puis les laissèrent parler, je n'aimais pas le voir venir, car, ils savaient que c'était rare que j'avais peur. Mais lui, c'était sûrement un petit nouveau, car le conducteur me regarda avant de rire un peu, il savait très bien que je n'avais pas peur et puis, c'était un ami tout de même, qui savait ce que j'étais, qui gardait le secret, mais je n'aimais pas les voir venir ici. Cependant, tout les flics sauf lui te parlant, savait que je n'avais pas peur.

Je fis donc comme toi, déposition puis ensuite, les regarda partir et je pose mon regard sur toi.

« - Tu sais, ils savent très bien que je n'ai pas peur, tout le monde chez les flics le savent, sauf lui à qui tu as parlé, c'est un nouveau. » Je riais légèrement puis ensuite, je te suivis pour m'asseoir donc en ta compagnie. « - Mais sinon, je n'aime pas les à voir dans les pattes même si l'un d'eux est un ami. »

Disais-je simplement avant de poser mon regard sur toi.