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    Un Cullen de plus à tourner dingue

    Une journée de travail tout ce qu'il y a de plus banale, en apparence. De celles que je préfère, à savoir que loin de passer la journée à compléter des dossiers attendant que je m'occupe de leur sort depuis la dernière journée de calme plat, c'est au bloc que je suis appelé, pour une réduction de fracture sur la jambe d'un jeune motard ayant présumé de sa capacité à retenir sa monture. Du sang, des os brisés, encore du sang, rien de très beau à voir, bien que j'ai déjà vu pire, et pas toujours dans le cadre de mon métier. C'est dans ces moments là que je remercie le contrôle parfait que j'ai sur chacun de mes sens qui saurait m'attirer vers cette source de nourriture commune à la plupart des vampire, cet appel auquel nombre d'entre nous ne sait pas résister.

    Contrôle parfait qui semble avoir ses failles, apparemment. Ce qui me fait dire cela? Sans avoir jamais eu à me concentrer  sur quoi que ce soit pour éviter de lorgner sur une flaque de sang, je remarque presque immédiatement les signes avant coureurs de la catastrophe, pour les avoir trop souvent observés chez Jasper. Mon regard reste bloqué sur mes mains, dont les gants sont couverts du sang de mon patient, jusqu'à ce que je sente une présence trop près de moi et une voix qui me fait sursauter, au sens littéral du terme.

    "Docteur Cullen, tout va bien?"

    Je réagis enfin, mon regard croisant celui de l'interne qui m'a adressé la parole, avant de se bloquer presque automatiquement sur la veine de son cou, sous la peau duquel je peux sentir le rythme régulier du sang qui y coule. Je sert les dents avant de reculer d'un pas, tentant de ne pas me laisser aller à cet instinct qui m'appelle.

    "Je pense... que je vais aller prendre l'air un instant. Ne reste plus qu'à suturer, continuez sans moi."

    Abandonner une opération en cours de route, pas mon genre, du tout. Mais si je ne veux pas dévorer et mon patient et l'ensemble de mon équipe, il vaut mieux que je n'insiste pas. Alors je quitte le bloc, me débarrassant rapidement de l'habillement fait exprès, couvert de sang, avant d'aller m'enfermer dans une salle vide deux étages plus haut, un peu de vitesse vampirique aidant à ne croiser personne.

    L'imprévu? Que la pièce vide ne soit pas si vide que ça. L'odeur de l'homme me monte au nez avant même que je n'ai pu voir le moindre trait de son visage, et, incapable d'en supporter davantage, je me jette sur lui, trouvant rapidement l'accès à la peau tendre de son cou, que mes crocs déchirent rapidement avant que je ne le vide de son sang, une sensation semblant à la fois une seconde et une éternité. Une torture et une délivrance. Et ce n'est qu'une fois que l'homme s'affaisse et que je le suis au sol que je réalise ce que je viens de faire.

    Alors je recule, jusqu'à rencontrer le mur dans mon dos, avant de glisser de nouveau au sol, ramenant une jambe contre moi pour poser mon front contre mon genou, prenant le temps de me calmer et me reconcentrer sur le moment présent et ce qui vient de se passer. Après quelques minutes sans bouger davantage, je cherche mon portable dans la poche de ma chemise avant de composer un numéro que je connais par cœur.

    "C'est Carlisle. J'suis à l'hôpital, tu peux venir?"


    Afterglow

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    En bref


    Un Cullen de plus à tourner Dingue.
    feat Carlisle
    Edward s’ennuyait. Il était face à son piano et pourtant aucune note ne semblait vouloir sortir. Il avait perdu l’inspiration, perdu le nord en quelque sorte. Il pouvait entendre les pensées de tous et c’était un vrai fardeau. Esmé, si elle aurait pu pleurer, aurait pleuré toutes les larmes de son corps tant elle se sentait fautive. Alice se sentait trahit, meurtrie et blessée, elle voulait hurler à la terre entière son malheur. Emmett se terrait dans un coin, et pourtant il semblait ne pas s’en vouloir de les avoir dupés depuis des années. Jasper n’était qu’une ombre, partagé entre son amour pour Alice et sa passion perverse pour Jane. Nessie, elle, ne savait quoi choisir entre Jake et un certain Silas dont Edward ignorait tout de lui. Sa Bella était silencieuse, usant de son don pour rester secrète. Et Rosalie avait disparu. Ne restait que Carlisle. Qui essayait de faire front, de soutenir tout le monde, même si certaines décisions étaient dures à comprendre. Il essayait de résister au cataclysme, mais Edward sentait son père fléchir, et il avait peur que ça ne vienne plus vite que prévu. Il connaissait Carlisle, plus que quiconque dans cette maison, et il sentait que le drame arrivait, et qu’il allait être le seul à pouvoir le soutenir. Edward soupirait, et restait immobile, le regard vers la fenêtre, songeant, essayant d’éteindre les pensées qui allaient à flot dans son esprit. Le bruit de son téléphone le sortait de sa catatonie, et le nom affiché ne présageait rien de bon. Carlisle. En pleine journée. Au travail. Il décrochait en un quart de seconde, et écoutait ce que son père lui disait. Et ni une ni deux, il comprit. Carlisle avait besoin d’aide.

    « - J’arrive. Ne bouge pas. »

    Ni une, ni deux, Edward pris son manteau, ses clés, embrassait sa mère en passant, et pris sa voiture. Il roulait à toute vitesse, de manière mécanique, ne se souciant pas de la circulation. Il avait peur d’une chose : Que Carlisle est perdu pied. Et il savait à quel point il s’en voudrait d’une telle chose. En moins de dix minutes il fut à l’hôpital, et non sans se soucier des personnes autour de lui, il piquait une blouse blanche pour traverser tous les couloirs sans se faire remarquer, puis se concentrait pour entendre les pensées de Carlisle. Il le localisait, non sans mal, et comprit que ce qu’il redoutait s’était produit. Il lâchait un « merde » dans les couloirs, prenait une housse mortuaire, et filait à vitesse vampirique, discrètement, jusqu’à Carlisle. Il cassait le verrou de la porte d’un coup de poignet et entrait dans la pièce, voyant l’homme inerte à côté d’un Carlisle désemparé. Il se mordait la lèvre puis rejoignais Carlisle, s’abaissant à sa hauteur, lui tenant l’épaule, le regard rassurant.

    « - ça va aller Carlisle, je m’en occupe. Ne t’en veux pas, ça arrive les dérapages. »

    ☾ anesidora
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    Un Cullen de plus à tourner dingue

    Tuer ne m'était encore jamais arrivé. Pas une fois en trois siècles, alors qu'il m'aurait été si facile de suivre Garrett ou les frères Volturis sur cette voie. Une voie dans laquelle ma conscience ne m'aurait pas permis de tomber. Jusqu'à maintenant, en tout cas. Je vais tourner dingue. Et si une partie de moi a envie de rejeter la faute sur Jasper et Emmett et leurs récents fiascos, une autre se dit que ce n'est pas eux qui m'ont mis cet homme sous les crocs, et qui m'auraient obligé à le saigner de la sorte. Je penche la tête en arrière, la posant contre le mur contre lequel je m'appuie au plus fort possible, fermant les yeux pour tenter de me convaincre que tout cela n'est qu'un cauchemar. Ah, je peux déjà entendre Aro ricaner, de ce rire infect qui vous donne envie de le gifler. Esmée avait raison, j'ai besoin de vacances, et si possible, d'un endroit où le premier humain habite à plus de mille kilomètres... l'Antarctique c'est bien. Parfait même. Si on évite les explorations polaires de la Terre Adélie.

    J'entends la voix rassurante d'Edward plus que je ne me rend compte de sa présence, et j'ouvre finalement les yeux, dardant des prunelles certainement rouges sang dans les yeux dorés de mon fils. D'ordinaire, c'est moi qui ai ce rôle. le soutien rassurant face à l'enfant pris en faute. Et, à dire vrai, tous les arguments que j'ai su leur déblatérer au cours du dernier siècle sonnent à présent particulièrement faux à mes oreilles.

    "Excuse moi. De te forcer à gérer ça. Je voyais pas qui appeler d'autre que toi."

    Je pose une main sur le bras qu'il tend vers mon épaule, le remerciant silencieusement d'être venu aussi rapidement, avant de lâcher un soupir et tenter de me relever. Jusqu'à m'accrocher à lui pour ne pas tomber, et finir par me caler contre le mur. Tâchant de me changer les idées, rien qu'une seconde, je penche légèrement la tête en remarquant la tenue dont il s'est affublé, certainement pour passer inaperçu dans l’hôpital.

    "J'te l'avais pas dit? Que tu f'rai un toubib potable?"

    En attendant, le toubib, il va se prendre un congé sabbatique. Et sérieux. Hors de question de risquer d'attaquer un autre patient. Un suffit largement à mon malheur.


    Afterglow

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    En bref


    Un Cullen de plus à tourner Dingue.
    feat Carlisle
    De ce que savait Edward, Carlisle n’avait jamais succombé au sang humain, enfin pas totalement. Il n’avait jamais tué, et vider un humain de son sang, comme il avait pu le faire. Empreint d’une conscience hors du commun, il avait toujours su résister. Mais là, ce n’était pas le cas. Il avait craqué, il avait cédé à la pulsion la plus profonde dont était doté tout vampire. Et Edward entendait à quel point son père était dans une sale position. Il entendait la puissance de son mal-être, et il comprenait aussi que les récents évènements n’avaient pas seulement affecté Esmé, mais lui aussi. Et bien plus que permis. Lui qui avait mis plus d’un siècle à bâtir sa famille, celle-ci volait en éclats. Alors il n’avait plus qu’à le soutenir, encore plus qu’Esmé, car il ne l’avait jamais vu défaillir de la sorte. Et c’était mauvais présage. Le regard rouge de Carlisle ne déstabilisait nullement Edward, car il savait que ce n’était pas Carlisle qui avait agi ainsi, et que d’ici peu, ses yeux reprendraient leur couleur Ocre. Sa main se fit plus présente sur l’épaule de son père, et son regard plus chaleureux encore.

    « - Je suis là pour ça Carlisle, pour t’aider quand tu en as le besoin. C’est le devoir de tout fils. »

    Edward lui fit un sourire, et le remerciait de la tête pour ses pensées sincères. Edward avait énormément d’affection pour Carlisle, il était comme un père spirituel, celui qui lui avait donné une seconde chance dans la vie. Il l’aidait alors à se relever, et s’assurait qu’il soit bien posé sur ses deux pieds avant d’aller s’occuper du cadavre. Il coupait alors sa respiration pour ne pas craquer à son tour, puis ouvrait son sac mortuaire, y glissant le mort délicatement. Pauvre vieux, y’avait plus une goutte, Carlisle l’avait saigné sec, mais ce qui était sûr, c’est qu’il n’avait pas souffert. Pour camoufler tout indice, Edward lui brisait la nuque, et attrapait un scalpel pour lui entailler la trace de morsure engendré par Carlisle. Il ne voulait pas qu’on remonte jusqu’à lui, même s’il allait brûler le corps. Une fois fait, il fermait le sac, pris une étiquette mortuaire dans la réserve, y notait un nom bidon, et la mettait sur le sac. Puis il riait légèrement au propos de Carlisle, se retournant sur lui.

    « - Ah non ça tu me l’as pas dit. Mais je te rappelle que tu m’as tout appris, et c’est moi qu’est refusé le job. »

    Edward lui fit un clin d’œil, puis sortait de sa poche de son jean des lentilles couleur Ocre qu’ils tendaient à Carlisle. Il avait toujours ça sur lui, cadeau de Bella, en cas d’entorse au règlement. Bien qu’ils ne les avaient jamais utilisés jusque-là.

    « - Tiens met ça, on pourra passer incognito comme ça. »


    ☾ anesidora
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    Un Cullen de plus à tourner dingue

    Les paroles d'Edward me déclencheraient presque un rire nerveux si je ne contrôlait pas mieux mes émotions, surtout à sa proximité. Il semblerait que certains pensent au contraire que le devoir de tout fils est de pourrir l'existence de ses parents, et je dois dire qu'ils y parviennent avec brio. Je rejette cependant cette pensée rapidement. D'une, ça ne va pas m'aider à rester calme, de deux, Edward n'a pas besoin de l'entendre. De trois, malgré que je sois indéniablement plus proche de mon ainé que des deux autres, j'ai toujours veillé à ne faire aucune différence entre mes enfants. Et malgré les récents évènements, ce n'est pas aujourd'hui que je compte commencer. Alors je me contente de remercier Edward de son soutien alors qu'il s'occupe d'une tâche qui devrait normalement m'être dévolue, avec un soin tel qu'on jurerait qu'il le fait tous les jours. Disons qu'il connait le boulot, et comme il le souligne si justement, il a eu un bon professeur.

    Je lui souris en retour, presque amusé de son commentaire. "Et c'est dommage." Je m'écarte du mur, mon équilibre retrouvé en même temps qu'un peu de contenance, appréciant le changement de sujet. "Enfin, la proposition tient toujours, même si ce ne doit être que dans deux ou trois siècles."

    Je baisse le regard en direction de ce que Edward me met dans la main avant de relever les yeux vers les siens en comprenant de quoi il s'agit, un mélange de remerciement et d'ironie naissant en moi.

    "Bella, n'est-ce pas? Et bien, elle ne devait guère penser que cela me serait utile un jour."

    Je le dépasse jusqu'à atteindre la fenêtre, me crispant légèrement en croisant mon regard à travers le carreau. J'y reste même appuyé un instant avant de baisser les yeux vers les lentilles que j'ai dans la main, acceptant bien sur de les mettre, mais me disant tout de même que c'est une mascarade que je ne jouerai que le temps que cela soit vraiment utile. Je ne me mentirai pas à moi-même, pas plus que je ne mentirai à Esmée. Pour le reste, chaque chose en son temps.

    Et une chose qui me chagrine, alors que je reviens vers mon garçon. Alice. C'est le genre de chose qu'elle aurait du apercevoir, tout comme Jasper aurait du sentir que j'étais au bord de l'implosion. Concernant ce dernier, je crois qu'il a largement assez à faire avec sa propre culpabilité pour ne plus sentir les émotions des autres. Mais si Alice avait senti venir quelque chose, elle ne me l'aurait pas caché. Sommes nous déchirés au point de ne plus voir que les autres ne vont pas mieux que soi? Je préfère ne pas y penser.

    "Bon allé. Finissons en, si tu le veux bien."


    Afterglow

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    Un Cullen de plus à tourner Dingue.
    feat Carlisle
    Edward savait que trop que lorsque le cœur et l’esprit sont lourds, des actes irréfléchies étaient existants. Il n’en voulait même pas à Carlisle pour ce qu’il avait fait, car lui avait bien pire. Il se devait de l’aider à aller de l’avant, et le laisser l’occasion de se racheter pour son acte. Il n’en restait pas moins un saint à ses yeux, un saint parfois trop humain. Alors il se contentait de rendre le sourire à son père, et de continuer ses affaires.

    « - Ah non pas la reine des neiges, elle est juste horrible cette chanson. »


    Puis Carlisle lui parlait de sa capacité à devenir un vrai médecin, et en réalité, Edward n’avait jamais choisi cette voie car il ne s’en sentait pas capable. Il n’avait pas le cran de Carlisle, ni même cette capacité à résister au sang humain, il n’était pas au point de Jasper, mais il savait qu’il était en mesure de déraper si tout ne se passait pas comme prévu. Alors il s’était simplement retourné vers son premier amour, la musique. Il laissait la bonté à Carlisle car c’était ce qu’il était, un homme bon.

    « - Je n’ai pas ta bonté Carlisle, ni même ta résistance. Je serais incapable de pratiquer comme toi tu le fais. Tu es le meilleur d’entre nous. La musique est mon premier amour, je ne pense pas que j’en changerais, et ça me comble ainsi. Bella est d’une aussi belle âme que toi, je sais qu’elle soutiendrait chacun de mes choix. Mais je préfère rester à la maison et jouer de la musique plutôt que de voir son regard de la mort. »


    Un rire et Edward reprenait ses affaires. Puis il sentit la main de son père sur son épaule, ainsi que son remerciement intérieur. Il lui fit un sourire confiant et lui répondait.

    « - Tu prendras tout le temps dont tu as besoin, je veillerais sur les nôtres. »

    Puis les réflexions sur Jasper et Alice fit perdre pied à Carlisle, qui le regardait de manière insistante, il riait à sa remarque et levait les épaules en souriant.

    « - Peut-être, je ne sais pas vraiment. Disons que j’adopte ta philosophie. »


    Caché dans le dédale de couloirs, Edward terminait cette affaire pour rejoindre l’extérieur en compagnie de Carlisle. Il n’y avait pas de bonté dans ses actes, juste les bonnes choses. Carlisle méritait qu’on prenne soin de lui, après tout ce qu’il avait fait pour nous. Il fit un sourire à son père et lui indiquait du regard le chemin vers les bois.

    « - C’est normal papa. Allez file retrouver maman, et prends soin de toi. »

    Une embrassade et Edward regardait son père s’évanouir dans le bois, espérant vraiment qu’il se remettrait de ce drame, car il ne pourrait pas vraiment se remettre de perdre ce pilier de la famille.


    ☾ anesidora


    FIN
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    Un Cullen de plus à tourner dingue

    Appeler un chat un chat, Edward semble particulièrement doué pour cela. D'un coté, il n'a pas tout à fait tord, et il parvient sans mal à me tirer un sourire amusé.

    "Y a intérêt. Sinon je demande à tout le monde de penser trèèèès fort à la superbe chanson de la Reine des Neiges chaque fois que tu entres dans la pièce."

    Je n'insiste pas, laissant Edward à son travail de fossoyeur ou presque, bien que je doive avouer que la bonne humeur de mon fils, bien que me semblant mal placée, est presque contagieuse. A vrai dire, il n'y a pas que pour les patientes qu'il devrait s'inquiéter.

    "Rajoute les collègues. Ta mère sait que je l'aime bien trop pour ce genre de stupidité. Mais on ne peux pas nier que les jeunes infirmières sortant de l'école peinent parfois à se concentrer sur leurs injections quand je suis dans les parages. Bella te soutiendrais. Elle saurait lancer les regards les plus meurtriers de sa gamme à quiconque te regarderait dix secondes de trop, mais elle te ferait confiance. Si c'était ton choix, elle ne te forcerait pas à y renoncer pour de telles sottises."

    Je pose une main sur son épaule, le remerciant intérieurement quand il me dit qu'il ne dira rien de plus que nécessaire à Bella.

    "Je ne compte pas en faire un secret. J'ai passé le dernier siècle à vous répéter que les erreurs font partie de notre vie, je compte bien assumer les miennes. J'ai besoin de temps, c'est tout."

    Je l'écoute me parler de Alice et Jasper avec la voix du sage, et je le regarde un instant, en silence, ne prenant la parole que quand il est évident que j'en devient insistant.

    "Je n'avais pas vu que tu étais devenu si sage. Le doit-on à Bella ou à Nessie?"

    La suite est un véritable escape-game à travers l’hôpital, et si j'ai récupéré mes esprits, je laisse à Edward le loisir de nous mener. Et de se débrouiller avec les conséquences de mes actes. Mon fils est bien trop bon avec moi.

    "Merci pour tout."


    Afterglow

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