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    En bref


    La renonciation d'Opaline...


    C’était le coeur lourd que je partais voir les fameux Volturi, je n’avais plus le choix, cette blonde me cherchais je ne savais pas pourquoi, mais apparemment c’était les ennemis oui bon ok mais pas eux qui ont tué ma famille, sans pitié.
    Emmett m’avait aveuglé avec sa famille, je ne croyais plus un traite mot, ce n’était pas possible, je savais qu’Emmett m’avait supplié mais ma décision était prise, je me devais partir et pas rester car je ne leur voulais pas de mal, nous vivions un amour…c’était...mon cœur brisé si toute fois j’en avais un.

    De plus quand sa sœur à osé me prendre le poignet, je n’ai pas supporté pire que tout on ne me touche pas impunément, destruction d’un couple, destruction que je n‘ai pas créé pas volontairement, elle ne connaissait pas ma race justement, je n ‘avais aucun parti, j'étais une sauvageonne je vivais seule et tranquille, elle ne savait rien de moi, si je fuyais ce n’étais pas pour leur faire du mal, je n’étais pas comme eux…

    je ne cherchais pas à tuer une famille etière, je n'avais rien fais de mal, non rien, alors que j'aurais pu depuis un moment le faire, j'allais pas me rabaisser à eux, hors de questions pour moi, je préfère renoncer à un amour perdu et me jeter dans l'antre du diable.

    Je ne désirais plus vivre voir pouvoir me venger, je ne sais pas mais je ne pouvais plus rester ainsi, je ne pouvais pas, ile me voyaient comme un fléau, j'allais le devenir sauf si...on décidait de me tuer à la Volturi d'en décider je vais me remettre entre ces mains.

    Je m’étais retenue par les belles promesses d’Emmett, j’ai vécue l’enfer et la torture pour lui, en me disant que sa famille allait m’aider, il en était rien tout le contraire, j’étais partie bien loin de toute cette histoire, j’en voulais à Emmett et pas que, toute sa famille auprès de qui je pensais trouver de l’aide, c'était une mort assuré pour moi, un mal autant aller voir ailleurs.

    Ils n’apprennent pas à connaître que déjà il juge, j’aurais pue bouffer l’hybride, je me suis retenue part respect pour l’amour d’Emmett même que son idiot de frère empathe n’a pas comprit, la solution pour moi était de partir et utiliser mon don mieux que jamais, que de faire plus de mal que ça.

    Je ne désirais pas que personne me retrouve, je trouve qui je veux mais pas le contraire, je fais une pause loin de tout ça, j’ai mal mais je n’avais pas le choix, on ne me laissait pas le choix, me sacrifier, aller à la mort je ne sais pas mais je devais partir et voir la blonde.

    Je courrais loin devant moi, laissant des cadavres mais pas grave, j’allais bien les trouver, fallait que je me rappelle ce qu’Emmett m’avait dit, me parler d’une ville en Italie…

    Il me fut quelques jours pour y arriver, je pense avoir trouvé Volterra enfin, faut que je trouve la blonde, je me permets de rentrer dans le château que je supposais leur appartenir, après tout quitte rien a rien.

    Je tombe nez à nez avec elle, cela tombe bien, je ne savais pas ce qu’elle me voulait mais je ne devrais pas tarder à le savoir. De toute façon je ne tenais plus à ma vie, inutile n’est ce pas…

      Jane ! n’est ce pas ? Tu me cherchais il y a quelques mois et bien me voilà, que me voulais-tu ?

    Je la regardais sans peur, de toute façon, je ne craignais plus rien vue ce que j’avais déjà subis cela ne pouvait être pire, elle me fit un signe de là suivre chose ce que je faisais sans dire mot, de toutes façon, j’étais là et je n’avais plus le choix, j’arrivais dans une pièce tranquille en apparence....


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    En bref


    La renonciation d'Opaline.


    J’étais retourné comme promis à Emmett à Volterra sans poursuivre cette fille, hmm comment déjà ah ! Oui Opaline, j’avais dis à mon frère de jeter un œil sur elle et que fut ma surprise quand mon frère me revint avec les nouvelles.

    Elle avait été en ville, j’avais raison sur un point, je connais trop les vampires comme elle, je souriais en espérant qu’elle est fait une faute, mon jumeau me rapporta la dispute avec les Cullen, et bien…décidément cette famille, et nous que l’on nomme de comment dire étrange n’est ce pas…ne pas accepter l’un d’entre eux juste pour…Ah oui un amour.

    Que cela me fend le cœur, j’avais un sourire de cette dispute, les Cullen n’étaient plus unis comme avant, une faille, au moins il n’y a pas de cela chez les Volturi. J’aimais prendre le temps d’écouter mon frère me raconter tout cela, je souriais jusqu'à ce qu’il me dise qu’elle a passé la limite elle a mordu un humain.

    Je rigolais moins j’avais prévenue, elle était sous le contrôle d’Emmett, elle là laissé faire, Opaline à dépasser les limites, et le mieux dans tout cela elle n’était pas au courant de cette discutions que fut mon bonheur, un vampire en moins ou à torturer, que choisir ?

    Le mieux dans tout cela, la meilleure nouvelle, mon frère qui m’annonçait qu’elle sera là d’ici quelques jours, qu’elle désirait me voir, ah ! Oui tient donc, un sacrifice, par amour car elle ne voulait pas faire de mal au Cullen, une bien grande pitié cette petite.

    A dire de Démétri que j’avais envoyé pour me tenir au courant de la situation, elle continuait a faire des dégâts sur son passage, elle aggravait son cas, ne faisant que ma réjouissance, elle n’allait pas tarder enfin.

    Quand je là vie pousser les portes du château, je l’attendais déjà, la regardant des pieds à la tête elle me faisait presque pitié sauf que j’en ai pas, j’en ai plus depuis un moment, la discutions avec mon frère m’avait réveillé.

    Visiblement on avait parlé de moi, au moins je laisse des traces, un vrais plaisir, Opaline venait de se jeter seule dans mon antre quoique de meilleurs, sans personne pour la défendre, les seules personnes sur qui elle comptait l’ont abandonnée.

    Je lui fis signe de venir avec moi être tranquille, je croisais le regard de mon frère qui me fit un sourire en passant, que je lui rendis, on était arrivé.

      Oui Opaline, c’est bien moi, en effet je te cherchais avant que ne fuit vers la ville, et ce que j’ai apprit m’a fait très plaisir tu sais.

    Je fermais la porte derrière moi, il n’avait pas d’échappatoire pour la petite, j’avais bien compris son petit jeu, je la regardais droit dans les yeux, elle n’avait pas l’air de me craindre pour le moment du moins.

      Et visiblement ton cher Emmett, t’a comment dire ta trahis avec de belles paroles ? Que c’est triste…

    Je rigolais du malheur de cette pauvre petite.

      Il n’a pas eu le temps non plus de t’expliquer certaines choses ma chère, il t’en cache des choses…Lui et moi avons eu une discutions,  je là regarde de travers un sourire au coin, me rapprochant d’elle la prenant sous le menton,  Tu étais sous la protection d’Emmett, tu as eu une chance, de ne pas bafouer nos règles.

    Je la relâche et la pousse violemment contre le mur.

      Et tu l’as fais, j’ai promis à Emmett de te tuer si c’était le cas…

    Je me tue, je réfléchissais, je ne craignais rien d’elle si elle bouge, je serais la maintenir.

      Que fais-je faire de toi, j’avais promis à Carlisle tu dois savoir qui, de retenir sur le fait de laisser une chance, dois-je ou pas ?

    Me retournant d’un coup vers elle, je la regardais fixement.

     Tu vas peut être pouvoir m’aider à choisir n’est ce pas ?



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    En bref


    La renonciation d'Opaline.


    Je ne mettais pas trompé sur la personne, la suivant sans même me méfier à qui j’avais a faire mais cela m’importait peu aujourd’hui je savais très bien que personne ne viendrait de toute façon, on me l’avait bien fait comprendre…

    Je suivais sans rechigner la petite blonde, je croisais du monde, ils étaient tous aussi bizarre les uns que les autres mais de toutes façon avec ce que j’ai traversé, je m’en fou, plus un problème.

    J’arrivais dans la salle, elle avait fermé la porte, elle avait bien comprit que je pouvais plus m’enfuir, je savais que c’était fini pour moi me résignant de toute façon, j’avais eu assez mal comme ça par cette famille autant en crever.

    J’étais étonnée qu’elle connaisse mon prénom, une personne m’avait trahis, mais qui, personne ne me connaissais sauf…les Cullen…

    par ce que tu trouve cela drôle ? Je suis loin d’avoir le même avis que toi, Jane.

    Je restais sur mes gardes je ne savais pas ce qui pouvait m’attendre ni même ce que la blonde allait me faire. J’écoutais Jane de plus en plus abasourdit par ces propos, je tenais à peine sur mes jambes, je reprenais tout dans la gueule, cette gamine ne mâchait pas ces mots.

    Je...oui en effet Jane, la triste vérité, de belles paroles, je ne m’en suis pas encore remise.

    J’ose parler et avouer mes sentiments, de toute façon elle avait l’air d’être bien au courant de tout, je voulais juste que tout s’arrête, j’avais trop mal pour subir encore cette scène.

    Jane se rapprochais de moi aussi vite que je ne pue le dire, ils avaient parlé, j’en apprenais des choses, j’avais de plus en plus mal, la gamine qui me portait au bout de sa main, bafouer les règles.

    Quelles règles Jane, il ne m’a rien dit, rien…je ne sais rien. Sous sa protection il m’a laissé, Jane, tu le sais, tu à l’air de tout savoir.

    Dis-je tristement, Emmett, ne m’a rien dit et il m’a laissé faire, il m’a laissé…sa famille aussi je suppose le savait, ils n’ont rien dit…rien…ils ne voulaient vraiment pas de moi quitte à ce que je me fasse tuer au final, tant mieux j’étais la pour ça.

    Je grognais de douleur en me prenant le mur, je ne pris pas la peine de me relever, ce n’était pas la peine, j’avais déjà renoncé à ma vie, ma vie qui était inutile, sans saveur, je maudissais celle qui m’avait transformé, je maudissais tout le monde au plus au point.

    Tue moi Jane je t’en prie, je ne désire plus souffrir je suis venue la pour…je ne sais même pas pourquoi je devais venir.

    J’étais prête à subir ce qu’elle désirait, ils m’avaient tous trahis, je n’avais plus de vie, plus rien  ne valait le coup pour moi…que cela se termine et vite c’était mon souhait, je ne pouvais plus de cette situation.

    Je grognais en entendant le nom de Carlisle, cette famille, je ne pouvais plus là voir ni l’accepter, ni quoique ce soit d’ailleurs, je ne savais plus quoi penser, je devais l’aider à choisir une plaisanterie, je n’avais pas le cœur à rire, je me détestais, je haïssais tout le monde.

    Tu as du respect pour Carlisle toi ? Moi je pensais en avoir j’en ai plus, alors fais ce que tu veux mais arrête de jouer et prend une décision.

    J’étais ferme, c’était de trop pour moi-même les ennemis pactisais…à rien y comprendre, qu’elle face une deuxième chance ou pas cela ne m’importait peu ?
    Jane me regardais, je ne la lâchais pas du regard, non plus, je n’avais pas peur.

    Jane je ne peux pas, j’ai été poignardée, je suis venue par tristesse mais pas que, j’ai été trahis, j’ai été humiliée, je hais ce monde. J’ai envie simplement de mourir Jane rien de plus…rien de plus.

    Je ne pris même pas la peine de me lever, j’attends mon sort, j’étais entre ses mains simplement, un supplice pour moi, ma blessure est profonde, je l’aimais, j’allais mourir pour lui, pour éviter de faire du mal autour de moi…



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    La renonciation d'Opaline.


    Je voyais Opaline comme résigner, et encore elle ne savait pas tout, comme je dois la plaindre, elle fut étonnée que je connaisse son prénom et oui quand je désire quelque chose, je l’obtiens mais cela était une autre histoire.

      Oui très drôle d’ailleurs, ma pauvre petite. Avec le temps j’ai appris à laisser mes émotions de côtés.

    Oui sauf quand certains s’amuse avec et me laisse tout aussi planté que finalement Opaline, je ne pouvais que là comprendre, jouer avec les sentiments cela n’apporte jamais rien de bon.

    Je vis Opaline de plus en plus remuée par tout ce que je lui dévoilais, Emmett avait bien caché son petit jeu.

     Je le voix Opaline pas la peine de me le dire, une grande vérité.

    Les sentiments de la vampire ne me laissait pas de marbre me rappelant un mauvais souvenir, j je ne pouvais laisser transparaître, j’étais proche d’elle je la soulevais comme une plume, elle était affaiblie, je la regardais de travers quand elle me posa la question quelles règles.

     Oui je sais tout ou presque, je ne vais pas prendre le temps de t’expliquer notre vie, ce n’était pas à moi de le faire, il est trop tard. Oui trop tard.

    Elle était triste face à la réalité, sa petite famille qu’elle croyait la laisser tombée, entre nos mains, enfin mes mains presque volontairement je pourrais dire mais quelle erreur de leur part, de perdre une aussi belle petite, un gâchis.

    Je réfléchissais déjà a ce que j’allais faire d’elle, la tuer ou pas, se servir de sa haine ou pas ? Que fais je…je la tiens du regard mais elle ne bouge pas, déjà résignée, elle était résignée. Je m’arrêtais de faire d’un coup les cents pas quand elle me supplie de la tuer.

      Par ce qu’il ne t’on pas laisser le choix, simplement pour cela, tu désires vraiment mourir à ce point ?

    Je réfléchissais ne prenant jamais de décision à la hâte mais cela avait l’air d’être si fort pour elle, que fais je, que fais je…Je lui parlais de ma promesse a Carlisle et ces mots on fait mouche en moi.

      Du respect si on veut, nous avons eu un certain lien il y a un moment mais je voix bien qu’il a changé lui si protecteur de sa famille, lui a qui voulu protéger Bree, laisse partir une pauvre petite comme toi…

    Opaline me soutenais du regard à telle point que je ne pus m’empêcher de commencer à la torturer, je la voyais se tordre douleur, cela me laissait le temps de réfléchir et si facile que de la tuer d’un coup, la comme ça, j’hésitais vraiment.

     Si tu me supplie autant soit…tu ne souffriras plus.

    Ne plus souffrir entre mes mains étaient un long mot, je al regardais en la torturant encore et encore, elle pouvait hurler tant qu’elle le désirait je m’en foutais royalement, j’avais aussi une haine, je me vengeais sur la pauvre fille mais elle voulait mourir, j’allais lui offrir cela, si tel était son désire.

    Ses cris perçant étaient une douce mélodie à mes oreilles, je renforçais sur elle mon don, plus fort de plus en plus fort, elle criait de plus en plus fort, jusqu’à plus un son…

    Ce n’était plus drôle, je la regardais gisant au sol, sans âme, je lui donnais un coup de pied, il n’y avait plus de réaction, je savais bien qu’elle n’était pas morte, devrais je lui donner du sang ?

    Non trop gentil, devrais je la terminée comme elle ma là demandé ? Devrais je la laisser comme ça pour mieux revenir ? Me servir de sa haine ? Attendre peut être qu’un Cullen réagisse eux qui sont si protecteur…La laisser là dans sa torpeur à jamais ?

    Je continuais à la regarder, quelle décision prendre, pauvre petit être sans âme…Opaline m’avait tellement suppliée de la tuer, elle avait bafoué nos règles, Emmett à rompus sa promesse pourquoi je devrais tenir les miennes envers Carl.

    Opaline malgré elle se retrouvait au milieu de tout ça, à moi de prendre la décision de vie ou de mort sur elle, que faire ?
    J’aurais peut être fait la même chose qu’elle, quand je pense à ce que Jasper m’avait fait subir pour me planter comme ça aller retrouver son Alice, ah oui il a fait vite pour aller la retrouver,  j’avais repris mes esprits mais a quel prix ? Opaline ne pouvait pas gérer cela….

    C’était hors de question pour moi de la prendre sous mon aile, il me restait donc qu’une chose, une décision la tuer dans l’immédiat, sans pitié aucune…c’était son souhait le plus profond pour une fois que j’écoute une personne on ne va pas me le reprocher.

    Je décidais de quitter la pièce et de laisser Opaline ainsi, vivante ou morte...cela ne me regardais plus, pour moi j'avais fais ce que j'avais à faire.

    Tic, tac, son heure est compté.


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    La renonciation d'Opaline.


    Je me suis vite aperçus que j’étais étais sans pitié, je ne savais plus ce que je faisais là mais de toute façon quoiqu’il arrive, j’étais prête, ma vie n’avait plus de sens quoiqu’elle face.

      Tant mieux pour toi, ce n ‘ai pas mon cas.

    Je ne savais pas quoi répondre à la blondinette, quoique que je dise, elle n’écoutera qu’à moitié et de toute façon je m’en foutais, qu’elle en finisse.

     Oui la vérité juste la vérité.

    Je vie la vampire qui réfléchissais, j’aperçu une réaction chez elle, avait elle aussi eu le même soucis que moi ? Après tout je ne connais rien de sa vie, mais je ne devais pas être loin de la vérité.

     Jane trop tard, mais je …je peux encore le savoir, qu’ai-je fais ? Qu’ai-je fais ?

    Je pense que je n’aurais jamais la réponse à ma question comme elle là dit c’était trop tard, bien trop tard, je ne réagissais même plus ou à peine sous ces mots.

      Non je n’ai pas eu le choix, je n’ai pas eu le choix de tout ceci…Oui Jane je le désire je ne peux vivre ainsi…

    Je la voyais réfléchir, je n’osais plus la regarder, j’attendais mon sort, simplement, mes mots ont fait réagir Jane mais dans quels sens ? J’aurais peut être me taire.

      Il ne l’ai visiblement plus…

    Je ne faisais qu’acquiescer les dires de Jane, elle doit le connaître mieux que moi, je n’ai eu que de belles paroles et rien d’autres…j’arrêtais mes pensées quand une douleur vive se fait ressentir, j’étais transit par la douleur, je ne savais même pas ce qu’il m ‘arrivait.

      Ja…

    Ma phrase, je n’ai jamais pue la finir que je ressentais douleur sur douleur, j’étais torturée de l’intérieur, je tremblais, je criais, j’avais mal, je souffrais autant plus que ce que les Cullen m’ont fait subir, que ça s’arrête, mes cris étaient de plus en plus fort, de plus en plus stridents.

    Je me savais gisante sur le sol, sans réaction, je n’étais déjà plus là, la seule qui finit par m’écouter, fait ce qu’il faut, je tressaillais par les dernières douleurs.

    Je me sentais partir enfin, la fin d’une souffrance pour moi, la fin d’une vie, enfin la paix après dix ans de souffrance, de mensonges, de croyances, je pouvais partir en paix avec moi-même et seule sans personne pour me trahir.

    Je ne ressentais plus de douleurs, je n’avais plus de force, je n’étais plus, la douleur c’est arrêter et mon être aussi, le calme me submergeait, je me laissais aller dans les ténèbres, les ombres me porter, partir, ne plus être ce que tous voulait, je démissionne de ma vie.

    Le néant était là, ne faisait que m’attendre, je voulais voir l’autre côté, Suis-je coupable ? Un amour que je croyais impénétrable, je sais que j’ai aimé, je serais l’abîme par ce que j’ai aimé, laissé le passé, ma tourmente se stopper.

    Mon heure est compté, l’aiguille lente, souligne son absence, plus de superbe, j’ai tout d’une peine, moi l’étrange paumée qui saigne, ne reverra plus son visage, le glas sonne, mon désespoir aussi, la mort m’attend, c’est fini….sans un au revoir.

    Je savais que ma mort était compté.

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    La renonciation d'Opaline.


    J’avais été chez les Volturi par peine par amour, par tristesse, par haine, par colère je ne savais plus…J’avais été retrouvée la fameuse Jane ou j’ai supplié de mourir. Elle m’a écoutée, elle ma faite souffrir mais laissant choir, la soif me tressaillait.

    J’avais mal, je ne ressentais plus rien, mon être se tord souriant de la douleur, je sentais mon heure, le mot tendre n’existait plus, je vais m’endormir, c’est mon souhait, qui me condamne ? Qui s’acharne ? L’enfer m’appelle, je le voix déjà.

    Les démons les plus hostiles, me mène vers une mort certaine, le cri de rage n’ai que profitable, je me laisse porter, la lumière s’éloigne, la pénombre prend place.

    La lumière s’essouffle, je ne m’invente plus des lendemains, je voix le noir de ce tunnel, je n’ai plus d’espoir, ton souvenir ne cessera jamais, de remuer le couteau dans ma plait.
    Mal de cœur, mal de peine, ma haine trop grande ne fait que me porter vers d’autres rivages.

    Je ne décomptais plus les jours, j’étais dans un autre monde, un boum se fit en moi me réveillant d’un coup…Je ne savais pas ou j’étais…regardant autour de moi.

    Ni ce que je faisais là, j’étais délabrée, je me sentais morbide, dans une pièce seule, je traverse les couloirs vides à retrouver la nuit tombante. Je regardais le peu de personnes qui passaient par là, un homme me demanda si j’allais bien, je ne savais pas quoi répondre…

    Je me sentais mal, il a du le voir, il me demanda mon prénom, je…je ne m’en souvenais plus…je ne savais plus rien de moi, ni qui j’étais, ni ou j’étais et le pourquoi…

    Je m’assoie frêle dans le coin d'une ruelle, recroquevillée sur moi-même, regardant le temps qui passe, je mangeais les rats qui passaient par là, j’avais faim, j’étais une âme perdue qui ère sans but, sans souvenir.




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    La renonciation d'Opaline.


    Nous étions en vacances avec Carlisle depuis environ deux semaines. Nous avions déjà fait le tour de Florence et mon cher époux m'avait proposé de me rendre à Volterra et faire plus ample connaissance avec les maîtres des lieux. J'avais eu un hoquet à cette proposition, en me souvenant de notre dernière entrevue, mais pourquoi pas, après je n'avais jamais jugé quelqu'un aux premiers abords je n'allais pas commencé maintenant. J'acceptais donc sa proposition et nous voilà partit. ils ne nous fallut pas bien longtemps pour arriver ) destination avec notre vitesse vampirique. Je n'étais pas pressés de devoir remettre les pieds dans un avion ou un train vu le temps que cela nous avait prit pour venir en Italie.

    Nous nous baladons dans Volterra en nous protégeant du soleil le plus possible pour éviter de faire apparaître la moindre parcelle de peau diamantée. Je regarde un peu partout, observant les bâtiment, les gens. Au détour d'une ruelle je sens une odeur de sang, sang animal, mais plutôt étrange ici. Ma curiosité me pousse à aller jusque dans l'ombre et là je vois une jeune femme blonde, elle ne me regarde pas, mais je crois reconnaître cette odeur.  Je l'ai déjà vu, j'en suis sure.

    - Op... Opaline c'est vous ?

    J'hésitais à vrai dire, je n'étais pas sure de son prénom, pas sure non plus qu'elle accepte de me voir, de me parler, au vu de notre dernière entrevue avec elle. Je me souvenais de l'avoir vu partir au loin, Emmett qui nous avez dit vouloir partir avec elle et qui finalement était revenue vers nous, je ne comprenais pas vraiment toute cette histoire et je ne peux nier être ravie du retour de mon fils à la maison, même si son retour aller être brutal, mais ça ne m'empêchais pas de ne pas aimer se que je voyais. La voir ainsi me faisait de la peine, et même si je ne me voyais pas l'accueillir chez moi comme j'aurais pu le faire avec d'autre au vu de son passif avec mon fils, mais je pouvais au moins tenter de l'aider de mon mieux.

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    J’étais perdue, je ne savais plus ce qui m’était arrivée, je n’avais plus de souvenir, j’airais, dans les rues de cette ville cachée dans l’ombre comme-personne ne devait me voir, j’avais trouvé une espèce de cap, cela me permettais de me protéger, j’en ressentais presque le besoin.

    La seule chose que je savais c’était l’envie de manger enfin de boire, du sang toujours et encore, je m’abreuvais de tout ce que je pouvais trouver, j’évitais tout contact, j’étais vraiment perdue, je ne savais pas ou aller, ni quoi faire, si au moins je savais…j’ai essayée de me rappeler mais à chaque fois je ressentais une violente douleur comme-ci que l’on m’avait torturée mais pourquoi ?

    Dans le fond d’une ruelle très peu fréquentée, je m’étais faite un petit chez moi, de bric et de broc mais au moins j’avais un toit et de quo manger tout ce dont j’avais besoin. Le jour j’allais très bien il y avait de la vie ici, Volterra un nom qui j’ai entendus au moins je sais ou je suis, enfin ou je suis est un grand mot.

    Masi la nuit était atroce pour moi, mon esprit n’étant pas occupée, j’essayais de rappeler mais à chaque fois j’éprouvais d’énormes douleurs, je poussais des cries de douleurs, j’avais mal en mon intérieur, impossible de me rappeler quoique ce soit comme une barrière que je ne pouvais franchir.

    Ce jour là j’étais dans ma rue, car personne y venait et je pouvais dans la pénombre voir les passants, j’étais tranquille à vrai dire je m’étais faites à ma vie, ce qui parfois me rappelais comme une deuxième vie, que j’avais déjà vécue ça.

    J’attrapais un rat qui passait par là pour boire, pourquoi j’en savais rien moi-même l’instinct certainement, je me rends bien compte que je n’étais pas comme les humains cela était sûr au moins une chose que je savais.

    Je prêtais peu attention a ce qui se passait à mes côtés, quand j’entendis le voix d’une femme, je levais les yeux sur elle, cette femme était recouverte de la tête aux pieds par cette chaleur, je la regardais de travers.

    Qui ?

    Je lui répondais par politesse, personne n’osait m’adresser la parole, je ne savais pas de qui elle parlait, cette femme devait peut être ce tromper de personne.

    Il n’y a personne d’autres ici que, moi. Vous devez faire erreur.

    Dis je un peu rudement, en jetant mon rat sur le tas qui était là, non loin de nous.




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    La renonciation d'Opaline.


    Après deux semaines à profiter de Florence, j'avais proposé à Esmée de pousser jusqu'à Volterra, histoire de voir Aro dans un contexte qui, pour une fois, ne pousserait pas à la bataille rangée. Car mon but n'a jamais été de me mettre les Volturis à dos, ou de leur faire concurrence. Mais entre le passage inopiné de Edward, Alice et Bella à Volterra, puis le conflit évité de justesse suite à la naissance de Nessie, on ne peut pas dire que nos rapports aient été des plus glorieux ces dernières années. Alors, c'est avec un désir de paix que me voici à proposer cette sortie à Esmée, en profitant pour lui faire découvrir cette ville dans laquelle j'ai passé plusieurs années de ma vie. Le plus à l'ombre possible, bien sur. Il serait stupide de se faire découvrir ici, sur les terres des Volturis, juste sous leur nez.

    L'odeur du sang nous attire dans l'ombre d'une ruelle, où nous finissons par nous retrouver face à une blonde trop connue. Non pas Jane, il existe d'autres blondes trop connues, apparemment même ici, à Volterra.

    "Apolline?"

    Je remarque aisément que si Esmée et moi avons réagi en même temps, nous avons inversé deux voyelles de son prénom. A savoir lequel de nous deux à la bonne réponse. Bon, à dire vrai, ce n'est guère ce qui m'intéresse le plus actuellement. Mais plutôt la raison pour laquelle celle à cause de qui j'ai presque perdu un fils est venue se perdre ici, à Volterra.
    Alors ma main vient serrer plus fort celle d'Esmée, une part de moi sentant bien que la vampire face à nous a besoin d'aide, et souhaitant la lui apporter, une autre mettant sur sa faute entière et complète les problèmes dernièrement survenus dans la famille. Au moins concernant Emmett. Au dernières nouvelles, je doute fort qu'elle ai poussé Jazz vers Jane, même si ce dernier a su être plus intelligent que son frère en reconnaissant son erreur et cherchant à se faire pardonner son comportement. Concernant Emmett.. ça y est, après deux semaines de vacances, je sens poindre la migraine, à l'idée de penser qu'il me faudra encore gérer les conséquences de ses actes, et surtout Rose, en rentrant. Rose... ma fille m'en a toujours voulu de sa transformation, et seule la présence d'Emmett lui a permis de voir l'éternité comme une opportunité, et non pas un purgatoire. Sans lui... Aucun de nous ne supporterait longtemps d'être départ de sa moitié, mais sans doute cela est il pire encore lorsque cette séparation est volontaire de la part de l'autre. Alors non, je ne remercierai pas la blonde en face de nous pour la pagaille qu'elle a causé.

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    La renonciation d'Opaline.


    Après avoir vue cette femme qui disait bonjour certainement à moi, je ne comprenais pas, ni même ce qu’elle me voulait, je la regardais étonnée au cas ou je regardais autour de moi mais il n’y avait personne, après avoir répondu je n’y prêtais pas plus attention à cette personne, non par manque de politesse mais je ne savais pas de qui elle parlait.

    Je continuais à regarder les passants, cette femme allait bien partir, ce n’était pas un endroit pour femme raffinée, cette ruelle sombre, ragoutante mais un homme vient la rejoindre, ils ont quoi tous aujourd’hui ? Pourquoi j’attire comme çà d’un coup ? Qu’est ce que j’ai ?

    Il est tout aussi habillé qu’elle, je le regardais tout aussi de travers, mais je ressens comme de la rancœur chez lui, je ne sais pas pourquoi, je me décale de quelques pas, le regardant de travers. Lui aussi m’interroge.

    Je suis seule ici, je en sais pas qui vous cherchez mais vous devez vous trompez de personne... Il n’y a pas de D’op…et d’Apo…je ne sais pas quoi. Il n’y a que moi et ce n’ai pas moi.

    Je ne sais pas pourquoi ces personnes insistes, je ne sais pas déjà pas qui je suis, peut être qu’ils me connaissent mais pourquoi ils me connaissent ? Je reste méfiante, j’essaye une nouvelle fois de me rappeler si j’ai des souvenirs mais…Une douleur vivace me prend à la poitrine, je resserre mes mains, je tremble à moitié…

    Ces personnes doivent appartenir à mon passé mais qui sont elles, je ne sais pas, je ne m’en souviens pas, mais lui me fait peur, l’impression qu’il m’en veut mais pourquoi, elle à l’air d’être plus douce.




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    La renonciation d'Opaline.


    Je suis face à elle, elle relève la tête, je la reconnais, c'est bien la jeune fille qui a été avec Emmett avant que ce dernier ne se rétracte et qu'elle ne parte loin de Forks. Alors pourquoi faire celle qui ne sait pas? D'après ses dires elle ne sait pas qui est Opaline, mais c'est elle, elle est devant moi j'en suis sure. Que s'est il passé ? Je ne sais pas trop quoi faire, quoi dire pour ouvrir la discussion. Carlisle sert un peu plus fort ma main lorsque lui aussi reconnais la jeune fille, même si le prénom n'est pas le même, nous sommes d'accord sur le fond, sinon il ne réagirait pas ainsi. Nous étions venu en Italie pour quelques vacances loin des enfants et des problèmes à régler, pour le simple fait que Carlisle et moi avions aussi nos soucis, enfin surtout lui, mais je serais toujours là pour l'épauler. Alors croiser cette jeune fille ici, n'était pas pour aider.

    Je me rapproche un peu d'elle et lâche la main de Carlisle. Je me mets à genou pour être à sa hauteur. Je vois les cadavres des rats dont elle a du se nourrir pour survivre. Comment a-t-elle pu en arriver là? C'est incompréhensible!

    - Pardonnez nous, nous avons du mal comprendre! Comment vous appelez vous ? Ecoutez je suis désolée, pour la façon dont ma famille et moi avons réagit lorsque Emmett a parlé de vous pour la première fois, mais vous devez nous comprendre tout cela à était si brutale. Dix ans ? Il nous l'a caché pendant dix ans!

    Se que j'ignorais c'est que la jeune femme face à moi ne voyait pas du tout qui nous étions, et je devais passer pour folle face à elle, mais je ne pouvais pas le deviner en même temps. Je regarde Carlisle en quête d'un coup de main; je sais bien qu'il a quelques à priori sur la jeune femme, mais je sais aussi qu'il avait un cœur, et que ce dernier ne lui permettrait pas de laisser cette jeune femme dans une telle situation.

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    La renonciation d'Opaline.


    Je ne reconnaissais pas les deux personnes devant moi, je ne comprenais pas ce qu’il voulait et bien pourquoi même me parler, une fois répondu à leurs questions, je ne prêtais plus à attention à eux, regardant droit devant moi.

    Je mettais juste reculée de l’homme, je n’étais pas sur la défensive mais je me méfiais, ce que je ressentais de la méfiance mais je ne savais pas pourquoi.

    La femme se rapprochait de moi, j’étais moins méfiante pour qu’ils insistent il devait me connaître mais leurs visages ne me disait rien, juste un mauvais pressentiment et ne pas me souvenir me faisait mal. Je regardais de nouveau cette femme me parler, je la regarder ma tête penchée sur le côté, elle me repose la question comment je m’appelle mais je ne sais pas moi-même, personne ne me là demander jusqu'à présent.

      Je….je ne sais plus…je ne sais pas.

    J’écoutais la femme me parler, et plus qu’elle me parlait plus j’avais mal, je n’avais pas de souvenir, dix mais dix ans de quoi ? Je la regardais interloquée, ma main sur ma poitrine ma douleur était de plus en plus intense.

    Emmett, il me connait, c'est qui ? Et qui êtes vous ?

    Je ressentais de la peine, de la mélancolie au nom…d’Emmett, qui était ce pour que je sois aussi mal.

     Je ne sais pas de quoi vous me parlez, je n’ai pas de souvenirs. Je…Je suis juste sortie de ce château là-bas et je me suis posée ici, je ne me souviens de rien d’autres.

    J’étais prise d’un coup d’une grande tristesse, je ne savais pas pourquoi, en plus j’avais mal comme des coups de poignards, c’était étrange. Je ne savais pas quoi dire de plus, à leur écoute je m’appellerais Opaline oui peut être, je ne sais même pas.




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    Dsl j'étais prise dans l'histoire, je vais laisser Esmée, répondre et je répondrais après. Je pense le couple puis Opa si cela va :).
    , plus simple.
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    La renonciation d'Opaline.


    Je dois bien l'avouer, s'il n'y avais que moi, je passerait mon chemin sans m'attarder. Sans doute en ressentirai-je quelques remords par la suite, et peut-être y reviendrais-je plus tard, mais cette blonde n'est pas franchement dans mon top 5 des personnes pour qui je m'inquièterais. Mais c'était sans compter sur Esmée, qui lâche ma main pour rejoindre la jeune femme, s'agenouillant face à elle avant de tenter de lui faire la conversation. Tenter est le mot juste. Elle a l'air sur une autre planète, à moins qu'elle ne soit extrêmement bonne comédienne. Pour ma part, je reste méfiant. Non pas sur sa capacité à nous attaquer, à nous deux, nous la bloquerions en moins d'une seconde, mais sur les couleuvres qu'elle pourrait vouloir nous faire avaler.

    "Esmée."

    Je me rapproche de mon épouse, posant une main sur son épaule sans quitter la plus jeune des yeux. Du moins, hormis quand le regard d'Esmée accroche le mien.

    "Je n'en suis pas désolé. Le comportement de notre fils est inqualifiable. La seule chose que je peux regretter à son sujet, c'est qu'elle se soit trouvée mêlée à cela."

    A moins que ce ne soit elle qui ai manipulé Emmett. Et dans ce cas, non, je ne suis pas désolé pour elle, mais plutôt déçu que Emmett n'ai pas su rejeter cette fille sans considération aucune pour son épouse. Je finis par soupirer, pensant que Volterra était définitivement un mauvais choix de destination, et me mettre à la hauteur de Opaline, à coté d'Esmée.

    "Reprenez du début. Sans rien omettre. Et tâchez d'être crédible. Depuis la dernière fois qu'on s'est vu, et tant pis si ça doit vous prendre une demi heure de tout raconter."

    Question à laquelle elle me donne une réponse à laquelle je manque de répondre sèchement (elle va peut-être nous faire croire qu'elle a pris un trop grand coup sur la tête? ou qu'elle a raté un lampadaire?), avant que son histoire de château ne m'interpelle, et mon regard se lève en direction de la demeure des Volturis, même si les bâtiments environnants m'empêchent de seulement l'apercevoir.

    "Aucun Volturi n'a ce don. Et heureusement."

    Je me relève et m'éloigne de quelques pas, soucieux de la véracité de mes paroles. Aro est un collectionneur, et les dons de ceux qui en possèdent sont sa collection. Allez savoir qu'il ai effectivement recruté un tel vampire.

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    laisse moi le temps de répondre avant d'enchainer zuteuh La renonciation d'Opaline, son heure est compté, la mort latente.... 3305293620 j'ai tenté de rattraper le tir sur la fin mais mon post se situerait davantage avant le tien qu'après... heureusement que le fofo m'a prévenu que "un nouveau message a été posté" en envoyant, sinon ça aurait été l'incohérence complète...
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    La renonciation d'Opaline.


    Nous avions quitté Forks pour nous éloigné de toutes les histoires de la famille de ces dernières semaines et nous voilà à Volterra devant celle qui avait été l'instrument de la déchirure de la relation entre mon fils Emmett et ma fille Rosalie. Au bien sur elle n'en était pas seule responsable, Emmett n'avait pas a trompé Rose si il ne le voulait pas, mais tous avaient quand même une certaine rancœur face à cette jeune femme, même moi, quoique je dise, au fond je lui en voulais. Si elle n'était pas passé à Forks, nous n'en serions pas là aujourd'hui.
    Carlisle m'interpelle. J'ai les yeux rivés sur lui durant un instant, en espérant qu'il m'aide à comprendre. Il s'approche et pose l'une de ses mains sur mon épaule. Il lui demande de s'expliquer, mais elle dit ne pas se souvenir. Elle demande même qui est Emmett, qui nous sommes. Je n'y comprends plus rien.

    - Emmett est notre fils. Vous étiez à Forks il y a quelques semaines et ils voulaient venir vivre avec vous, jusqu'à ce que vous preniez la fuite.

    Je ne savais pas être insensible à son état. Je la croyais sincère, c'était plus fort que moi. Peut-être nous mené elle en bateau, mais je n'arrivais pas à y croire. Dans cette position, elle avait l'air si fragile, perdue au milieu d'un monde si brutale. Je la croyais d'autant plus lorsqu'elle évoque le château dont elle était sortit. Il s'agissait de celui des Volturi. Bon sang, mais qu'est-ce que ces personnes avaient bien pu lui faire ? N'en avait-il jamais assez ? Carlisle lui fit néanmoins remarqué qu'aucun membres des Volturi n'avait le don de lui faire tout oublié. Je le croyais bien sur, mais alors comment expliqué son état ? J'observais un instant encore tous ces rats empilés ça et là non loin de la jeune fille.

    - Carlisle nous pourrions peut-être ... Si elle n'a que des rats sur lesquels se nourrir depuis qu'elle est ici, elle doit mourir de soif, il doit bien y avoir un moyen de l'aider ...

    Je ne sais pas trop quoi faire, j'avais véritablement envie de l'aider, je ne savais faire autrement que d'aider mon prochain.

    - Pourquoi rester ici dans la rue depuis tout ce temps? Vous avez une vie qui vous attend!

    J'allais lui demander se qu'elle aimait faire pour tenter de lui trouver une piste de petits boulots pour sortir la tête de l'eau, mais je partais du principe qu'elle ne se souvenait de rien et que par conséquent elle ne pourrait pas répondre à ma question aussi facilement.

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    La renonciation d'Opaline.


    J’étais dans cette rue depuis un moment, je vivais ainsi et cette vie me convenait enfin si on pouvait dire cela ainsi, je survivais comme je pouvais, personne ne faisait attention à moi et cela m’arrangeait bien, ne me souvenant plus de grand chose.

    Un couple était venue vers moi, pourquoi moi, ils avaient l’air de me connaître mais plus ils s’approchaient, plus j’avais mal et plus j’étais triste sans comprendre pourquoi.

    La femme me parlait calmement, contrairement à l’homme, qui était plus agressif et je ne comprenais toujours pas pourquoi. Au moins je connaissais mon prénom déjà pas mal, je ne savais pas moi-même.

     Je ne sais pas, je ne peux pas vous répondre, je ne vous connais pas, vous voulez que je vous raconte quoi.

    Je lançais sèchement, je ne peux dire ce que je ne savais pas, ces gens venues de  nulle part me voir, ils me connaissent et m’agresse sans raison, je ressens encore plus un mal être en moi, je m’éloigne un peu d’eux, méfiante.

      Forks ? Votre fils, je ne me rappelle pas, je sais pas…Je sais que je viens du château et rien d’autre.

    Je me mordais les lèvres de tristesses et de douleurs, surtout a entendre le nom d’Emmett leurs fils, que c’est il passé ? Je ne sais, je ne sais pas…je bloquais de plus en plus ma poitrine replier sur moi-même j’avais mal, je grognais de douleurs, cela devait faire parti de mon passée.

      Quelle vie ? Je ne me rappelais même pas de mon prénom…Je n’ai pas de vie, je n’ai rien, je reste car je n’ai nul par ou aller, comme-ci que j’avais déjà vécue cela…que c’était ma vie, d’être seule, de  vivre seule…

    Oui j’avais déjà eu ce sentiment d’avoir été longtemps seule que c’était ma destinée, plus j’étais triste, plus j’avais mal, ce qui m’embête c’est que je ne souviens de rien et je subis ma tristesse, mon mal être. A  écouter un couple qui était de mon passé, sans les connaître, sans savoir ce que j’avais fais, pourquoi j’avais si mal…

    Pourquoi si triste, Pourquoi j’avais fuis qui déjà Forks ? Pourquoi faire ?




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